>L'étude publiée dans Allergy est la première à explorer spécifiquement la santé intestinale des nouveau-nés dans la pandémie. Il a révélé des différences significatives dans le développement du microbiome des bébés nés pendant les périodes de confinement par rapport aux bébés pré-pandémiques. Les bébés nés pendant le confinement ont également présenté des taux d'allergies inférieurs aux prévisions, telles que les allergies alimentaires.
>Les résultats ont mis en évidence les avantages pour la santé intestinale des «bébés pandémiques» découlant de l'environnement unique de confinement, y compris des taux d'infection plus faibles et de l'utilisation d'antibiotiques, et une augmentation de la durée de l'allaitement. Il a été constaté que les nouveau-nés avaient davantage de microbes bénéfiques acquis après la naissance de leur mère. Ces microbes maternels pourraient jouer un rôle protecteur contre les maladies allergiques.
https://www.news-medical.net/news/202...-lower-allergy-rates-study-finds.aspx
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>Autrement dit, notre système immunitaire (adaptatif comme inné) ne connaît pas de « pause » : il fonctionne en permanence, y compris en l’absence de pathogènes, qu’il n’a donc pas « besoin » de rencontrer pour demeurer actif.
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>Soulignons par ailleurs que, même en temps normal, l’immunité conférée par certains virus après une infection ne dure pas suffisamment longtemps pour éviter la réinfection après quelques mois. C’est bien entendu le cas du SARS-CoV-2, mais aussi du VRS. Fin 2022, la protection procurée par les infections des années précédentes aurait de toute façon déjà décliné.
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>Un autre argument vient fragiliser la théorie de la dette immunitaire : plusieurs pays qui avaient adopté des mesures sanitaires moins contraignantes ont aussi été touchés par des épidémies de bronchiolites atypiques.
https://theconversation.com/covid-19-...bli-par-les-mesures-sanitaires-198801
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