frenchhope: informatique* + numérique*

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    https://www.ins2i.cnrs.fr/fr/les-decodeuses-du-numerique
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    https://www.latribune.fr/technos-medi...ve-sur-le-marche-francais-923993.html
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  3. Cette privatisation a d’autres effets encore : l’argent public est mis au service du déploiement d’offres qui ne lui bénéficient pas. Le service public ainsi démantelé n’est sollicité alors que pour compenser les défaillances des services privés, sans plus de possibilité de péréquation (ce qui est rentable est vendu au privé, ce qui ne l’est pas est abandonné, selon la règle bien libérale de la privatisation des bénéfices et de la socialisation des pertes). “La hiérarchie entre intérêt général et intérêt particulier (…) est bousculée”,

    Le risque est bien sûr celui d’une perte de souveraineté et de maîtrise technique, à terme, mais plus encore, le risque d’une dissolution du sens public lui-même dans des logiques de surcontrôle et de réduction des coûts.

    La privatisation avance sur le délabrement du secteur public. Il repose sur un mythe jamais démontré, à savoir que le privé ferait mieux que le public. On a surtout déployé dans le public de faux critères de qualité qui cachent surtout de simples recherches d’économies (c’est-à-dire des indicateurs de productivité !), à l’image des nombreux indicateurs qu’on y produit. Or, par nature – faut-il le seriner encore et encore ! – tout indicateur est biaisé

    L’Etat paie deux fois : “La première pour que des cabinets l’incitent à rogner les budgets, la seconde pour que ces mêmes cabinets l’aident à suppléer les carences qu’ils ont eux-même contribué à organiser”.
    https://hubertguillaud.wordpress.com/...merique-arme-de-privatisation-massive
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  4. Forcément, dans ce cadre dysfonctionnel, la psychanalyse, en ouvrant la brèche du sens, questionne ce désir inassouvi de performance. Freud, pourtant, dans Malaise dans la civilisation, rappelait combien l’homme ne fait pas corps avec ses prothèses. Ça ne les empêchent pas de s’être démultipliées. Comme Turing, nous cherchons à contrôler la parole avec la machine, mais nous ne produisons que du discours, des fonctionnalités sans plus aucun sens. Pire, souligne-t-il, en considérant notre cerveau comme un microprocesseur, nous ouvrons la voie à sa reprogrammation. Diener pointe combien les identifiants et les codes dont nous devons partout nous rappeler, sont contemporains d’une crispation identitaire (sans parler des algorithmes, qui eux aussi, sont là pour nous trier en catégories, nous caractérisent, nous discréditent… pour produire d’innombrables “familles” ou classes identitaires qui en renforcent certainement les carapaces…). Comme dit Vilèm Flusser, l’écriture manuscrite et la pensée linéaire appartiennent déjà au passé. Face à l’hégémonie du code sur la parole, c’est nous qui sommes remisés !
    https://hubertguillaud.wordpress.com/...9/01/27/de-la-devitalisation-du-monde
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    https://www.informatiquenews.fr/azure...-lentement-86321#.Yi7-b43Z1BY.twitter
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    https://www.presse-citron.net/entrepr...hcloud-porte-plainte-contre-microsoft
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