frenchhope: infrastructure* + électricité*

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    https://www.huffingtonpost.fr/environ...as-suffisant-d-ici-a-2035_218875.html
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  2. Le débat public se focalise sur les sources de production, jamais sur le système
    https://hubertguillaud.wordpress.com/...nger-dinfra-pour-changer-de-direction
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  3. Le seul frein à cette entreprise n’est autre l’important investissement en infrastructures. Or, le gouvernement allemand qui devra assumer cet investissement hésite encore à faire le grand saut. Enfin, les porteurs du projet désirent à terme étendre le concept à toute l’Europe et ainsi homogénéiser la pratique sur tout le continent.
    https://sciencepost.fr/des-autoroutes...r-un-transport-routier-moins-polluant
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  4. Notre équipe a développé un modèle de ce type pour l’État du Minnesota, pas particulièrement ensoleillé. Le but était de déterminer la combinaison la moins chère alliant solaire, éolien et stockage nécessaires pour fournir à tout instant et en toute saison l’alimentation en énergie.

    L’étude démontre que surmonter la contrainte liée à la variabilité naturelle de l’éclairement solaire et de la vitesse des vents est possible. Cela implique de surdimensionner la production et que les distributeurs autorisent des pertes d’environ 20 à 40 % de l’excès d’énergie produite. Ce surdimensionnement réduit considérablement les besoins en stockage, toujours nécessaire, bien sûr, mais de façon à ce que son impact sur les coûts de production reste à un niveau acceptable.

    Une question légitime s’impose alors : quelle serait la surface requise pour un déploiement complet de photovoltaïque (PV) surdimensionné ? Pour le Minnesota, dans le plus extrême scénario, soit une production électrique fournie à 100 % par le PV et le doublement de la production du solaire par rapport au besoin de la demande réelle, cette surface serait de 1130 km2. Et cela en considérant le rendement des panneaux solaires actuels, de l’ordre de 20 % aujourd’hui (1 kW d’énergie solaire peut être converti en 0,2 kW d’electricité). Cette surface représente moins de 1 % des terres cultivées de l’État, ou la moitié des espaces urbanisés de densité de population moyenne et haute du Minnesota.

    Pour la France, avec le même scénario extrême, la surface nécessaire serait de l’ordre de 2 800 km2, là aussi moins de 1 % de la surface agricole du pays.

    la proportion optimale donnant l’électricité ferme (garantie tout le temps) la moins chère est de l’ordre de 45 % d’éolien et 55 % de photovoltaïque.

    Par ailleurs, il vaut mieux gérer la demande, en favorisant le report de la consommation vers les périodes de forte production renouvelable. Cette pratique dite du « load-shaping » permet de réduire les écarts entre offre et demande d’énergie.

    La volonté de maximiser les énergies renouvelables en évitant les pertes faisait sens à l’époque où le solaire était intermittent et extrêmement cher. Mais l’ensemble décroissant des coûts permet de penser d’autres solutions, en commençant par le déploiement surdimensionné de ces énergies.
    https://theconversation.com/pour-une-...surproduire-127559#Echobox=1576438662
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  5. Entre autres raisons, on peut citer l’existence de technologies de transport de l’électricité sous forme de courant continu (HVDC) – pour lesquelles les pertes sont inférieures à 3 % pour 1 000 km), à comparer avec une valeur de 7 %/1 000 km en courant alternatifPlus concrètement, nos résultats montrent que, si un parc éolien était construit au Groenland, et que l’électricité ainsi générée était rapatriée en Europe, la production groenlandaise permettrait de réduire de moitié la probabilité d’occurrence de périodes de temps pour lesquelles l’ensemble des sites de production produit moins de 30 % de leur production maximale.

    La construction d’un réseau mondialement interconnecté nécessiterait, bien sûr, l’établissement d’un dialogue de qualité entre les nations de tous les continents, ce qui pourra aux yeux de beaucoup sembler de la pure utopie… Mais, au final, le principal frein que nous entrevoyons à l’heure actuelle est l’absence de cadre réglementaire international permettant aux différents acteurs publics et privés d’avancer dans des projets d’investissements pour la construction d’un tel réseau.

    C’est pour cela que des discussions doivent être entamées entre juristes, économistes et parlementaires du monde entier pour évaluer quels outils juridiques, économiques et financiers (la mise en place de marchés de l’électricité internationaux tout particulièrement) pourraient être nécessaires à la construction d’un global grid pour donner toutes ses chances à la transition énergétique.
    https://theconversation.com/un-reseau...est-plus-de-la-science-fiction-112976
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