>"Dans de nombreuses villes, j'ai été témoin et j'ai analysé comment les plateformes immobilières et technologiques travaillent souvent de concert pour déplacer et cibler les locataires de couleur pauvres et de la classe ouvrière. La Proptech prolonge cette tendance. Au-delà de l'inconfort et des préoccupations concernant la vie privée, elle présente de nouvelles menaces pour la sécurité et la stabilité des locataires vulnérables", conclut Erin McElroy
https://www.cnetfrance.fr/news/ces-en...-expulser-les-locataires-39953896.htm
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https://www.inegalites.fr/Un-quart-de...immobilieres-acceptent-de-discriminer
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À l’heure des discriminations et des inégalités, la question qui s’impose est la suivante : à qui appartient la ville aujourd’hui ?
Il semblerait aux catégories sociales privilégiées, qui ont détourné les dispositifs tels qu’Airbnb, qui permettait initialement aux classes moyennes d’augmenter leur pouvoir d’achat.
Le choix et les stratégies des groupes majoritaires permettent de conserver cet entre-soi nécessaire à la reproduction sociale. Mais il s’opère toujours au détriment des autres : à savoir les classes populaires et les personnes discriminées en fonction des critères liés à l’origine et à la précarité sociale notamment.
Sans remettre en cause le droit à la propriété, peut-être s’agirait-il d’en réglementer l’usage et s’assurer que les biens dédiés à Airbnb actuellement en vente à Paris (faute de touristes) seront remis au parc locatif.
https://theconversation.com/les-conse...s-de-lairbnbisation-des-villes-157004
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