frenchhope: procrastination* + société*

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  1. >Ce déni systématique des écarts entre intentions, principes, discours et pratiques s’explique aussi par une inertie comportementale, des habitudes, une certaine paresse intellectuelle, un manque d’initiative ou de discernement, la volonté d’apparaître meilleur que l’on ne l’est réellement plutôt que de remettre en question des actions contraires aux principes affichés.

    >Cette dissonance s’explique aussi par des réponses émotionnelles, plus inconscientes ou moins voulues, qui se nourrissent de certains biais cognitifs. Mis en évidence par nombre d’économistes béhavioristes, les jugements erratiques et les erreurs de décision sont la règle davantage que l’exception. Procrastination, représentations idéales, déni et préjugés s’imposent davantage qu’un jugement rationnel, fondé, voire étayé au moment de reconnaître des erreurs ou de gérer des risques.
    https://theconversation.com/festivals...teur-engage-avec-sa-conscience-200481
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  2. -
    https://www.franceculture.fr/emission...-pas-rempli-votre-declaration-dimpots
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  3. c’est aussi la preuve que bosser de la maison engendre des dégâts considérables sur notre santé mentale. “Nos journées de travail durent plus longtemps parce qu’il n’y a pas de séparation claire du moment où nous devons nous arrêter”, analyse-t-elle auprès de Glamour US. Et ce n’est pas sain. “Le détachement émotionnel du travail est extrêmement important pour la satisfaction professionnelle. Mais le rituel de fin de journée a disparu dans l’environnement virtuel.”


    En procrastinant notre heure de coucher de la sorte, on se venge de ne pas avoir pu s’accorder de réels moments de détente plus tôt, et on essaie frénétiquement de les rattraper. Et puis, on recherche aussi un lien social essentiel, largement réduit avec la pandémie. Une façon de respirer, donc, qui n’est cependant pas sans conséquence.

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    Le problème avec cette habitude devenue commune, c’est qu’elle a tendance à être contre-productive. Plutôt que de nous changer les idées pour mieux nous relaxer d’un stress ambiant, elle finit par l’augmenter. “Nous savons que le simple fait de scroller sans réfléchir et de ne pas interagir de manière significative augmente notre stress au lieu de l’atténuer”, rappelle ainsi Vaile Wright, directeur de l’innovation en matière de soins de santé à l’American Psychological Association.

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    en essayant de déplacer cette pause privilégiée - mais nocive - à plus tôt dans la journée. A la pause-déjeuner, par exemple, ou en pleine après-midi. 15, 20, 30 minutes rien qu'à soi qui éviteront d'attendre le dernier moment pour en profiter. On les passe à aller se promener, à téléphoner à un·e ami·e pour se confier, à lire, à manger, à écouter un podcast qui nous donne l'impression de s'évader.
    https://www.terrafemina.com/article/s...ation-vengeresse-du-coucher_a357315/1
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  4. l’être humain a une capacité de concentration inférieure à celle d’un poisson rouge. Huit secondes consécutives, contre douze au début des années 2000. Et neuf, pour le poisson. Principal coupable : l’écran connecté, qu’il soit celui du smartphone, de la tablette ou de l’ordinateur.
    http://rue89.nouvelobs.com/2016/07/06...stinerai-plus-internet-travail-264561
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