La réussite scolaire étant elle-même fortement liée à la probabilité d’accéder à des positions sociales de statut plus ou moins élevé, cette croyance en la méritocratie scolaire est susceptible, in fine, d’amener les individus à penser que la société est juste et que chacun y occupe la position qui correspond à ce qu’il « vaut ».
Une inégalité (par exemple, de salaire, de prestige, de droits, etc.) n’apparait dès lors plus comme une inégalité, mais plutôt comme une simple différence qu’on peut qualifier d’équitable entre des individus plus ou moins méritants. Dans un tel système, pourquoi les individus seraient-ils motivés à lutter pour plus d’égalité ?
https://theconversation.com/croire-au...il-ou-non-les-eleves-a-reussir-167590
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Performance rime avec concurrence, réduisant les enjeux à une confrontation interpersonnelle. Le combat éducatif essentiel est celui que chacun est appelé à mener par rapport à lui-même.
https://www.slate.fr/story/215105/esp...ce-concurrence-developpement-individu
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Let’s just debunk a big ol’ myth right now: No one, and I repeat, no one makes it entirely based on their own merit. The concept of “meritocracy” as a path to success is misguided, because so many external factors shape the privileges, opportunities and challenges that people experience in life.
As educators, when we tell students that they can do anything, we sometimes neglect something important, which is this—success doesn’t just boil down to one’s own skillsets or intrinsic abilities. It’s so much bigger and more networked than that. Alongside reading and writing, math, sciences and STEM, there’s an equally important subject deserving of attention and resources: social capital.
https://www.edsurge.com/news/2019-01-...ter-just-as-much-as-skills-here-s-why
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https://theconversation.com/plaidoyer...-sur-lintelligence-emotionnelle-81235
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