"Bref, une femme qui “like” sur Tinder a toutes ses chances de se faire “liker” en retour, et pas toujours en finesse. Résultat: “elles savent qu’elles ne peuvent pas ‘matcher’ à la légère car elles prennent un risque à chaque fois. Elles deviennent de plus en plus sévères dans leur jugement, avec très peu d’informations à leur disposition, ce qui les pousse à des jugements superficiels”, analyse Joe Edelman, philosophe proche du Centre pour une technologie humaine. "
"Cette frustration est surtout la clé de la réussite de Tinder. Grâce à elle, les hommes sont incités à souscrire à Tinder Boost ou Tinder Gold, les options payantes de l’application. "
"“Tinder travaille avec des spécialistes du jeu vidéo pour savoir comment activer les mécanismes de frustration dans le cerveau des hommes. Quand ils ont identifié un profil susceptible de payer -un certain niveau de revenus, un certain niveau d’études, etc-, ils le rangent dans une catégorie où son profil apparaît moins. Une fois qu’il achète l’option, son profil est, selon son niveau d’attractivité, soit montré normalement, soit montré beaucoup plus”, détaille Jean Meyer, PDG de l’application Once, que Match -la société mère de Tinder- a tenté d’avaler."
https://www.huffingtonpost.fr/entry/s...es-hommes_fr_5d3c0c66e4b0a6d6373fb646
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http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2015...is-rencontres-monde-y-a-femmes-262437
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