À l’heure des discriminations et des inégalités, la question qui s’impose est la suivante : à qui appartient la ville aujourd’hui ?
Il semblerait aux catégories sociales privilégiées, qui ont détourné les dispositifs tels qu’Airbnb, qui permettait initialement aux classes moyennes d’augmenter leur pouvoir d’achat.
Le choix et les stratégies des groupes majoritaires permettent de conserver cet entre-soi nécessaire à la reproduction sociale. Mais il s’opère toujours au détriment des autres : à savoir les classes populaires et les personnes discriminées en fonction des critères liés à l’origine et à la précarité sociale notamment.
Sans remettre en cause le droit à la propriété, peut-être s’agirait-il d’en réglementer l’usage et s’assurer que les biens dédiés à Airbnb actuellement en vente à Paris (faute de touristes) seront remis au parc locatif.
https://theconversation.com/les-conse...s-de-lairbnbisation-des-villes-157004
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bien que réelles, les inégalités d’accès aux espaces verts en France ne résultent pas de politiques volontaristes comme ça peut être le cas dans certaines villes des États-Unis où l’effet des politiques de « redlining » menées dans les années 1930 est toujours observable.
https://theconversation.com/acces-aux...lites-revelees-par-la-covid-19-150864
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