frenchhope: biens communs* + 0_archivebox*

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    https://www.slate.fr/story/190425/covid-19-pandemie-importance-bien-commun
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    https://www.linkedin.com/pulse/elinor...mmuns-goutte-26-marie-france-fourrier
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    https://www.marianne.net/economie/la-...remier-plan-les-obligations-du-commun
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  4. >La conscience spirituelle qui émane de ce texte signale l’avènement d’une pensée plus ample (« Tout est lié ») fondée sur des observations concrètes et précises. C’est pourquoi elle dispose de recommandations très pratiques. Elle révèle surtout que l’évolution de la doctrine sociale de l’Église catholique s’est opérée selon une logique œcuménique que l’on retrouve également en France et chez un grand nombre de leaders religieux de la planète.

    >comme le savent la plupart des penseurs de la complexité, la conscience fonctionne selon différents niveaux qui sont structurés de façon intégratrice.

    >la notion même d’un Dieu comprise comme une réalité personnelle, s’auto-révélant selon différentes consciences de soi et capable d’aimer au-delà de soi-même est une réalité à la fois transcendante et immanente, divine et humaine.

    >Le paradigme spirituel peut aussi être qualifié de « pluriversel » selon l’expression de l’anthropologue Alain Caillé, l’un des rédacteurs du Manifeste du convivialisme. Ce terme de pluriversalisme permet pour lui « de critiquer tous les relativismes communautaristes au nom de l’exigence d’une certaine universalité, et, réciproquement, de critiquer tous les universalismes abstraits au nom de leur fermeture à l’altérité et à la pluralité des voies de l’universel ».

    >La nouvelle épistémologie transdisciplinaire et synthétique reconnaît la personne humaine dans toutes ses dimensions et relations. Elle est à la fois traditionnelle en ce qu’elle identifie une raison créatrice supérieure à l’intelligence humaine et aussi nouvelle car elle représente un bouleversement par rapport à la conscience moderne.
    >
    >Tandis que cette dernière avait chassé la personne humaine de toute position de centralité dans le champ du savoir, on constate aujourd’hui que des théories nouvelles, en physique ou en biologie font de la personne humaine le cœur même de la conscience de l’univers et de l’histoire.

    >Si gouverner c’est choisir, l’État aura tout intérêt à bénéficier, à l’heure des choix douloureux, des ressources morales de la conscience spirituelle.
    https://theconversation.com/debat-com...t-nous-aider-a-penser-la-crise-141382
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  5. Ainsi, il faut s’interroger : comment des organisations peuvent-elles aider au bien commun ? Comment des entreprises peuvent-elles aider à lutter contre les passions et les désirs toujours vains et éphémères ? Comment des sociétés pourraient-elles développer des solutions pour aider à mieux vivre ? Voilà quelques questions philosophiques fondamentales qui doivent être abordées auprès des entreprises. Sont-elles prêtes à cela ? Qui serait prêt à porter ces propos de manière désintéressée ?
    https://theconversation.com/la-philos...en-entreprise-a-t-elle-un-sens-150409
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  6. "Privatiser ce mot et le transformer en emblème publicitaire est une décision que nous ne pouvons pas partager. Vous décidez de brader le nom de « Vendôme ». Il ne s’agit pas d’une vente temporaire, d’une licence, ou d’une convention d’exploitation mais bien d’une cession définitive à une très grande multinationale pour … 10 000€.

    ***

    les mots me manquent. Les mots commencent à nous manquer. Il ne peut y avoir de parle libre si les mots sont achetés. C'est une idée que l'on croyait jusqu'ici réservée à la science-fiction dystopique mais les pauvres en mots, les exclus du langage, les famines linguistiques même ne semblent plus impossibles. Il s'agit de partir d'une abondance et d'un commun pour le privatiser et en organiser la rareté. Heureusement les ressources de la langue sont infinies, on pourrait donc se permettre de rester un peu optimiste. Or c'est précisément car le capitalisme arrive à bout de l'exploitation spéculative de ressources finies qu'il en vient à s'intéresser à la langue. Il ne se tourne pas vers elle par défaut mais par anticipation. On se devra donc d'être vigilant.e.s.
    ***

    "La marque c'est le vol." Ce n'est pas moi que le dit mais Michel Serres, dans ce texte aussi court que remarquable : "La guerre du propre contre le commun." Voici la fin du texte :

    "Autant il est facile de trouver l’origine du mot marque et sa fonction linguistique dans le droit de propriété, autant la date de son apparition historique sur le marché reste, à ma connaissance, inconnue.

    Sauf que, feuilletant un vieux grimoire de l’époque hellénistique, je découvris que les putains d’Alexandrie sculptaient en négatif leur nom et leur adresse sous les semelles de leurs sandales et les imprimaient ainsi en marchant sur le sable de la plage. Marchant, elles marquaient.

    Leurs clients les suivaient à la trace. La publicité, rien de plus rationnel, fut inventée par les filles publiques. Comment nommer le titulaire d’une marque ? Un fils, en droite ligne, de ces putains alexandrines."

    Emmanuel Macron - et Nicolas Sarkozy avant lui - sont donc autant de fils de ces mêmes putains alexandrines.

    ***

    "La marque, c’est le vol. Un vol dont l’acheteur est certes victime, mais il s’agit surtout, à mes yeux, d’un viol de la langue. À leur profit, les noms propres volent les noms communs, dont les termes parlent d’eux-mêmes : ceux-ci désignent le bien commun ; ceux-là se réfèrent à la propriété. Une marque pose donc la question du droit de propriété et la résout en s’appropriant une chose commune."
    https://www.affordance.info/mon_weblog/2021/02/climat-planete-vendome.html
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