frenchhope: démocratie* + politique* + 1st_revue* + élections*

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    http://marjolaineleray.com/portfolio/...-reprendrez-bien-un-peu-de-democratie
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    https://larevuedesmedias.ina.fr/presi...maires-sondages-politique-information
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  3. Effectivement, nous défendons l’idée qu’il devrait être naturel au XXIème siècle de voter non pas pour un candidat, mais pour les propositions qu’il défend. C’est incidemment ce qui se produit, par exemple, dans les budgets participatifs, où les citoyens sont amenés à sélectionner tel ou tel projet d’aménagement concret. Mais on peut aller encore plus loin : partir du programme idéal des Français (celui notamment révélé par l’analyse des consensus lors du Grand Débat National) et renverser la charge de la preuve électorale en votant pour le candidat qui s’engagera à défendre ces consensus clés. Une révolution copernicienne dans le landerneau des partis politiques. Tentons également, au moins à titre expérimental sur quelques grands sujets régaliens, l’aventure de la « démocratie liquide » : ce processus singulier né dans les pays nordiques dans lequel chaque citoyen peut déléguer son droit de vote à quelqu’un qu’il juge plus compétent que lui. Et osons imaginer le vote à répétition !

    Ainsi, dans le cas du Brexit par exemple, plutôt que de jouer 50 ans d’histoire européenne sur 24 heures de scrutin, pourquoi ne pas avoir envisagé deux votes successifs espacés de 6 à 9 mois ? Permettant ainsi aux « déçus » ou aux « floués du lendemain » (ceux qui avaient voté par pure protestation) de percevoir les conséquences des résultats du vote… C’est d’ailleurs ce qui se produit très intelligemment en Nouvelle-Calédonie où la population en âge de voter aura été invitée à s’exprimer sur le référendum portant sur l’indépendance à 3 reprises, tous les 6 mois !
    https://usbeketrica.com/fr/article/citoyen-ecologiste-socialiste-liberal
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    https://bastienlachaud.fr/2021/02/17/...uer-modalites-election-presidentielle
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  5. >Le temps d’une élection est effectivement celui des promesses et des engagements. Mais les élus peuvent-ils les tenir ? Rien n’est moins sûr tant les leviers de l’action publique locale cristallisent des convoitises. Pour autant, cela n’oblige pas à succomber à une vision simplifiée en termes d’intérêts cachés manipulant les décideurs.

    >De grandes entreprises au contact régulier des élus locaux – dans les domaines notamment de la promotion immobilière, de la distribution, de l’économie numérique, des réseaux – se sont ainsi dotées de services de relations institutionnelles et de lobbying pour travailler auprès des collectivités.
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    >Cette inégalité de moyens oblige de fait bon nombre d’associations à redoubler d’efforts pour se faire entendre. On le voit quand des édiles cèdent aux sirènes de grands promoteurs commerciaux invoquant les richesses et emplois induits, études à l’appui, par l’implantation d’un nouveau centre commercial : les riverains et associations de défense du cadre de vie sont contraints de multiplier leurs actions (manifestations, pétitions, recours, contre-expertises…) pour espérer infléchir un tel projet.

    >l’écho des intérêts défendus dépend des liens entretenus avec les élus locaux. Plus les acteurs sont sociologiquement et idéologiquement proches des élus, plus il leur est aisé d’en être entendu : en toute logique, les élus sont portés à écouter ceux qui partagent les mêmes codes et langages.
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    >On comprend mieux l’importance pour tel ou tel segment de la société d’avoir l’un de ses représentants sur une liste. Dans cette perspective, l’élection possible d’équipes écologistes à la tête de municipalités pourrait bien représenter une opportunité pour des associations environnementales partageant les points de vue de ces nouveaux élus.
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    >Tertio, les causes défendues résonnent différemment selon les conjonctures. Tout laisse penser que, dans les prochains mois, les arguments autour de l’emploi et du développement économique auront une portée renforcée auprès des élus. Il est vrai que, compte tenu des échéances électorales, les demandes mesurables quantitativement (comme les emplois) sont plus aisément monnayables que des biens communs auprès d’élus tenus d’afficher des bilans.

    >Ainsi se crée une déconnexion croissante entre l’échelle des compétences, de plus en plus intercommunales, et l’échelle des groupements de la société civile à forte dimension municipale. Doit-on parler dans ce cas de politiques publiques destinées à rester sans interlocuteurs ?
    https://theconversation.com/les-elus-...s-a-labri-des-groupes-dinteret-141255
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