frenchhope: démocratie* + éléctions*

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    https://laviedesidees.fr/Le-vote-blan...-voix-perdues-ou-nouvelles-voies.html
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    https://larevuedesmedias.ina.fr/presi...maires-sondages-politique-information
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    https://theconversation.com/quelle-nation-francaise-pour-2022-167074
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  4. Les résultats obtenus sont étonnants: pour toutes les élections, sans exception, les écarts mesurés dans les bureaux de vote avec machine à voter sont plus importants que dans les bureaux de vote à l’urne. Ainsi, pour les dernières élections municipales de 2020, les écarts sont 3,4 fois (premier tour) à 3,9 fois (second tour) plus élevés quand il y a vote électronique par rapport au vote à l’urne. Les études concernant les élections antérieures, librement consultables en ligne, donnent des résultats similaires. Parfois, les membres du bureau de vote signalent qu’un électeur a oublié de signer, ou bien qu’un autre a voté deux fois, mais la grande majorité de ces écarts reste inexpliquée.
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/e...ocratique_fr_60cb60a5e4b05fb357617c5f
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  5. Il est tentant de relier les deux facteurs les plus constants de la vie politique : le caractère systématique de l’alternance entre droite et gauche et la progression régulière de l’abstention. Excepté en 2007, aucune majorité sortante n’a remporté les législatives depuis 1978. Plus largement, le camp du premier ministre en exercice est toujours battu lors des élections intermédiaires. Cette mécanique de l’alternance est à la fois cause et conséquence de l’abstention : en suscitant des désillusions, elle contribue au désenchantement politique et éloigne la population des isoloirs ; et, si les sortants sont systématiquement battus depuis trente ans, c’est souvent parce que leurs anciens électeurs ont cette fois préféré s’abstenir...
    https://www.monde-diplomatique.fr/2014/05/BRACONNIER/50381
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  6. Effectivement, nous défendons l’idée qu’il devrait être naturel au XXIème siècle de voter non pas pour un candidat, mais pour les propositions qu’il défend. C’est incidemment ce qui se produit, par exemple, dans les budgets participatifs, où les citoyens sont amenés à sélectionner tel ou tel projet d’aménagement concret. Mais on peut aller encore plus loin : partir du programme idéal des Français (celui notamment révélé par l’analyse des consensus lors du Grand Débat National) et renverser la charge de la preuve électorale en votant pour le candidat qui s’engagera à défendre ces consensus clés. Une révolution copernicienne dans le landerneau des partis politiques. Tentons également, au moins à titre expérimental sur quelques grands sujets régaliens, l’aventure de la « démocratie liquide » : ce processus singulier né dans les pays nordiques dans lequel chaque citoyen peut déléguer son droit de vote à quelqu’un qu’il juge plus compétent que lui. Et osons imaginer le vote à répétition !

    Ainsi, dans le cas du Brexit par exemple, plutôt que de jouer 50 ans d’histoire européenne sur 24 heures de scrutin, pourquoi ne pas avoir envisagé deux votes successifs espacés de 6 à 9 mois ? Permettant ainsi aux « déçus » ou aux « floués du lendemain » (ceux qui avaient voté par pure protestation) de percevoir les conséquences des résultats du vote… C’est d’ailleurs ce qui se produit très intelligemment en Nouvelle-Calédonie où la population en âge de voter aura été invitée à s’exprimer sur le référendum portant sur l’indépendance à 3 reprises, tous les 6 mois !
    https://usbeketrica.com/fr/article/citoyen-ecologiste-socialiste-liberal
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