>Seulement, ces initiatives ne sont pas aussi positives qu'elles le laissent penser. Elles restent ancrées dans un paradigme dans lequel le comportement individuel est le pivot du changement, plutôt que les structures politiques et économiques qui nous entourent. Ainsi, de nombreuses organisations utilisent les principes et les politiques du bien-être pour renforcer les hiérarchies existantes, sans aucune remise en question.
>Il s'agirait pour les établissements d'une tentative stratégique pour améliorer la productivité, réduire les coûts, conserver une bonne réputation et promouvoir la conformité. Et ce, sans que les employés ne s'en rendent réellement compte. Les coins détente, les salles de sieste, les baby-foot et toutes les infrastructures vendant du rêve permettraient en fait de compenser les heures supplémentaires, la mauvaise ambiance entre collègues et les semaines de travail intensives.
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>En outre, certains employés ressentiraient davantage de pression, considérant désormais que participer à ces programmes et ateliers est une tâche professionnelle semi-obligatoire; au point que la non-participation entraînerait une stigmatisation. Au bout du compte, leur quotidien rimerait avec stress et... mal-être.
https://www.slate.fr/story/241606/pou...ique-sante-mentale-entreprise-travail
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http://theconversation.com/le-management-est-il-pervers-par-essence-94230
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http://www.slate.fr/story/153287/arrogance-francaise-managers-expatries
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"C’est surtout étonnant qu’on doive mener des études pour le démontrer et pour prouver qu’être dur, insultant et irrespectueux envers ses collaborateurs les rend moins motivés, moins performants, moins prêts à coopérer !"
"Des recherches ont prouvé que lors d’une négociation simulée avec un acteur peu amène, dur et insultant, le cobaye répétait inconsciemment ce comportement lorsque c’était à son tour de négocier. Pire, si le CEO est convaincu qu’être méchant et agressif est le seul moyen de voir les choses exécutées, il en fera sa culture d’entreprise."
http://www.liberation.fr/debats/2017/...ncete-au-travail-a-quelle-fin_1600358
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Les 6 conditions nécessaires de la bienveillance stratégique L’idée principale est de faire coopérer les talents. En voici les six déclinaisons : 1/ Oser la bienveillance stratégique, c’est-à-dire faire confiance à ses employés 2/ Initier la coopération, leur permettre de s’ouvrir, de montrer leur vraie personnalité 3/ Se projeter vers un avenir commun avec eux 4/ Diversifier les talents et “articuler autour de soi des relations complémentaires” 5/ Renoncer à la relation dominant / dominé et traiter ses collaborateurs sur un pied d’égalité 6/ Oser explorer un territoire neuf et illimité, être ouvert à toute nouvelle idée Nous avons à chaque fois quatre forces en présence : la bienveillance, la réciprocité, la clarté et la liberté d’innover.
http://www.widoobiz.com/actualites/ma...t-strategie-de-la-bienveillance/44897
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