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https://www.courrierinternational.com...nconvenient-de-trop-aimer-son-travail
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>Seulement, ces initiatives ne sont pas aussi positives qu'elles le laissent penser. Elles restent ancrées dans un paradigme dans lequel le comportement individuel est le pivot du changement, plutôt que les structures politiques et économiques qui nous entourent. Ainsi, de nombreuses organisations utilisent les principes et les politiques du bien-être pour renforcer les hiérarchies existantes, sans aucune remise en question.
>Il s'agirait pour les établissements d'une tentative stratégique pour améliorer la productivité, réduire les coûts, conserver une bonne réputation et promouvoir la conformité. Et ce, sans que les employés ne s'en rendent réellement compte. Les coins détente, les salles de sieste, les baby-foot et toutes les infrastructures vendant du rêve permettraient en fait de compenser les heures supplémentaires, la mauvaise ambiance entre collègues et les semaines de travail intensives.
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>En outre, certains employés ressentiraient davantage de pression, considérant désormais que participer à ces programmes et ateliers est une tâche professionnelle semi-obligatoire; au point que la non-participation entraînerait une stigmatisation. Au bout du compte, leur quotidien rimerait avec stress et... mal-être.
https://www.slate.fr/story/241606/pou...ique-sante-mentale-entreprise-travail
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https://business.ladn.eu/experts-meti...h/inclusion-introvertis-monde-travail
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Passer directement des tartines du petit-déjeuner au clavier de son ordinateur est difficile pour certains, qui ont besoin d'un espace de respiration.
Eddie Fairchild, un consultant résidant en Floride, avait pour habitude d'écouter ses podcasts favoris et de téléphoner à ses proches durant les heures de trajet en voiture quand il se rendait chez ses clients.
Avec ses réunions virtuelles, finis les embouteillages… mais aussi les podcasts et les coups de fil. Il s'est donc inventé un faux trajet, errant deux fois par semaine en voiture dans les rues de sa banlieue ou s'arrêtant dans une boutique de café à emporter.
Bien entendu, le trafic est moins intense en cette période, mais Eddie Fairchild prend bien soin de sortir vers 7 heures du matin ou 5 heures et demie le soir, là où il a le plus de chance de trouver du monde sur la route. Récemment, il avoue avoir été «excité» de se retrouver dans un embouteillage l'obligeant à emprunter un itinéraire bis.
https://korii.slate.fr/biz/teletravai...que-coupure-bureau-domicile-habitudes
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