Le dilemme n’est donc pas entre croissance et décroissance, mais entre un rythme plus ou moins rapide de la consommation des ressources naturelles non renouvelables (en particulier de l’énergie fossile) ou, en termes scientifiques, de la ressource que constitue la « dot entropique de l’humanité »
---
« le capitalisme nous oblige à considérer de fait la croissance et le développement comme une identité, c’est-à-dire à voir dans la première la condition nécessaire et suffisante, en tout temps et en tout lieu, du second, l’amélioration du bien-être humain ne pouvant passer que par l’accroissement de la quantité de marchandises. » (souligné par moi).
https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-3-page-241.htm
Vote 0
-
https://theconversation.com/davos-un-...ers-la-guerison-du-capitalisme-130963
Vote 0
Comment distinguer les besoins réels des besoins superflus
https://www.franceculture.fr/emission...es/de-quoi-avons-nous-vraiment-besoin
Vote 0
-
https://www.wedemain.fr/David-Graeber...iplie-les-metiers-a-la-con_a3568.html
Vote 0