frenchhope: hydrogène* + 0_archivebox* + hydrogène vert*

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  1. Bien que cette question et d’autres puissent ralentir le rythme de la transition, il n’y a plus de défis insolubles, selon Rebecca Dell, qui pilote le programme Industries à la fondation ClimateWorks. « Cette transition est tout à fait à la portée de nos capacités techniques et économiques, tant dans les pays à revenu élevé que dans les économies émergentes. » L’hydrogène a donc tout le potentiel d’une révolution universelle.
    https://www.pourlascience.fr/sd/energ...ses-colorees-de-l-hydrogene-25722.php
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  2. -
    https://www.revolution-energetique.co...s-de-tonnes-dhydrogene-vert-a-leurope
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  3. Le procédé Spark ne génère donc aucune émission de CO2 et consomme 4 fois moins d'énergie que l'électrolyse »
    https://www.lesechos.fr/idees-debats/...r-produire-de-lhydrogene-vert-1945506
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  4. >l'université Paris-Saclay a voulu vérifier jusqu'à quel point une transition vers une économie fondée sur l'hydrogène pouvait être une alternative propre aux combustibles fossiles. Pour cela, les chercheurs ont utilisé plusieurs scénarios de transition jusqu'à 2100, en fonction, entre autres, des fameuses couleurs de l'hydrogène, et publié leur étude, intitulée Climate benefit of a future hydrogen economy, en novembre 2022. « Selon l'un des derniers rapports du GIEC, qui prend en compte les émissions de carbone cumulées depuis le début de l'ère industrielle, il ne nous reste plus qu'un total de 900 milliards de tonnes de CO2 à émettre dans l'atmosphère d'ici 2100 si nous voulons que le réchauffement se situe en dessous de 2 degrés Celsius. Or une économie partiellement à base d'hydrogène vert permettrait d'éviter de rejeter un tiers de ce total », souligne Didier Hauglustaine, directeur de recherche au laboratoire sciences du climat et de l'environnement à l'université Paris-Saclay. En effet, sur la période 2030-2100, l'usage d'hydrogène vert entraînerait une réduction de 331 milliards de tonnes de CO2 émises dans l'atmosphère. Mais à certaines conditions. D'abord qu'il n'y ait pas de fuites, lors de la production, du transport, du stockage et de l'utilisation. Ce sont en effet autant de dangers, puisque libéré, l'hydrogène affecte d'autres molécules, dont celles des gaz à effet de serre, dont il augmente en outre le potentiel de réchauffement... Autre contrainte : que la consommation d'hydrogène, et donc la production, augmente de près de huit fois entre 2020 et 2050 par rapport aux niveaux constatés en 2017... Ce qui implique aussi des productions d'énergies renouvelables (pour activer l'électrolyse) trois fois supérieures au parc mondial actuel, uniquement pour produire cet hydrogène. « Compte tenu des avantages pour le climat, cela vaut la peine d'essayer, assure le chercheur, en particulier dans les secteurs difficiles à décarboner, comme l'industrie lourde, le transport (trains, navires de commerce, avions) pour viser un usage, en 2050, qui correspondrait à 20 % de l'énergie totale nécessaire à l'économie. » Il s'agit donc d'introduire l'hydrogène, vert, de préférence, dans le nouveau mix énergétique, tout en gérant l'ensemble des contraintes.
    https://www.latribune.fr/entreprises-...toutes-les-cartes-en-main-955200.html
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  5. -
    https://www.futura-sciences.com/tech/...iale-hydrogene-vert-produit-mer-10099
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  6. Nous avons choisi une approche qui permet d’utiliser l ‘énergie solaire, sans passer par un ensemble “panneau solaire / électrolyseur”. Notamment parce que les électrodes sont souvent produites à base de matériaux extrêmement chers, comme le platine.

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    Nous développons actuellement des photo-électrodes, sortes de panneaux solaires, qui trempent directement dans l’eau. Les rayons du soleil vont être absorbés pour produire des charges électriques, qui vont être directement rejetées dans l’eau pour « casser » les molécules d’eau et produire de l’hydrogène et de l’oxygène.

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    Ce mécanisme a plusieurs avantages. Déjà, le panneau solaire produit directement l’hydrogène dans l’eau, ce qui simplifie beaucoup le processus. Nous avons combiné une fine couche d’un matériau, appelé semi-conducteur III-V, qui absorbe très bien la lumière, avec une couche épaisse de silicium. Or, le silicium est un élément chimique extrêmement abondant sur Terre et peu cher. Nous avons donc réussi à montrer que l’utilisation de photo-électrodes à base de silicium permettait d’obtenir d’excellents résultats. C’est un élément déterminant pour évaluer le potentiel de notre procédé à être utilisé à grande échelle.

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    Les chercheurs ont testé et validé l’intérêt d’un procédé par thermocompression avec chauffage par induction. Il présente l’avantage d’accepter l’utilisation de nouveaux matériaux polymères et composites thermoplastiques, et notamment ceux issus du recyclage. « Nous sommes au début d’une nouvelle histoire dans la manière de fabriquer les modules photovoltaïques, en particulier en repensant différemment toute la démarche de l’éco-innovation, se réjouit la spécialiste. Ce nouveau procédé d’assemblage va nous permettre d’ouvrir le champ des possibles en termes de matières. »

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    Par exemple, il va être possible d’utiliser des matières recyclées issues de la filière automobile, comme c’est le cas du polypropylène, et de l’associer à des fibres de carbone recyclées. Avec le procédé standard de lamination, l’utilisation de ces matières est impossible. Le chauffage par induction produit une montée en température très rapide, jusqu’à 250, voire 270 degrés, et n’engendre pas de dégradation des cellules photovoltaïques, ce qui permet de conserver leurs performances et d’optimiser la rentabilité industrielle. Cette nouvelle technologie permettra aussi d’intégrer de plus grandes quantités de composites thermoplastiques dans la fabrication des modules, qui présentent l’intérêt d’être réutilisables, au contraire des thermodurcissables.

    Dans cette démarche d’éco-innovation, le CEA-Liten et l’INES mènent également des travaux de recherche dans le but de réduire la quantité d’argent dans les modules en développant une nouvelle technologie d’interconnexion des cellules photovoltaïques. « Nous sommes au tout début de ce programme, mais je pense que nous pourrons parvenir à une preuve de concept dès l’année prochaine », conclut Aude Derrier.
    https://www.techniques-ingenieur.fr/a...hydrogene-vert-a-grande-echelle-11787
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