frenchhope: pouvoir* + politique*

Les signets de cette page sont gérés par un administrateur.

33 signet(s) - Classer par : Date ↑ / Titre / Vote / - Signets des autres utilisateurs pour ce tag

  1. -
    http://www.agoravox.fr/actualites/soc...hologie-du-pouvoir-psychologie-157164
    Vote 0
  2. -
    http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pag...ubris-la-maladie-du-pouvoir-22722.php
    Vote 0
  3. -
    http://www.liberation.fr/debats/2018/...ron-vers-la-monarchie-absolue_1644284
    Vote 0
  4. Le simple fait de mentir ouvertement en public semble alors suffire à rendre un candidat plus authentique, du moment que son comportement tranche avec les règles établies par un establishment en crise. En méprisant les valeurs morales de ce milieu, le leader populiste montre qu’il n’est pas de ceux-là. Qu’il ne joue pas le jeu démocratique. Ce n’est pas que ses soutiens croient à ses mensonges, mais bien qu’ils savent qu’il ment.

    Logiquement, le leader populiste semble se complaire dans les critiques qu’il suscite de la part des élites. Son objectif est tout simplement de se faire mépriser par celles-ci, de sorte à ce que le peuple, à travers lui, se sente également méprisé et s’identifie donc à lui. En outre, mentir, instiller la crainte et la colère, ne peut que donner l’impression d’une confiance en soi à toute épreuve, délivrant le message qu’on a bien à faire à l’homme de la situation.

    Finalement, l’avènement d’Ubu nous pose une question : comment se fait-il que de si nombreuses personnes soient déçues de la démocratie, au point de préférer n’importe quel leader affligeant, dès l’instant où il s’en dissocie ?
    https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/neu...erature/les-ubus-au-pouvoir-16815.php
    Vote 0
  5. -
    https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/psy...hubris-la-maladie-du-pouvoir-3250.php
    Vote 0
  6. >Partout la sécurité l’emporte sur la liberté (le libéralisme qui devrait pourtant prôner la liberté préfère finalement asseoir son pouvoir par la sécurité et la police, ce qui n’en fait plus tant un libéralisme qu’un fascisme). La société sécuritaire vise à « contrôler et gouverner les modes d’apparition »… Et pour cela, la technologie est son meilleur outil puisqu’il permet de justement de créer des “apparitions”, c’est-à-dire de prédire le risque et de le contenir, de calculer des probabilités, de faire apparaître des fantômes, des aberrations, des justifications chiffrées à l’inacceptable, de transformer les gens en spectres, les signes en signaux même et surtout si leur interprétation est fausse. La raison numérique a ainsi redonné vie au fantasme de la connaissance intégrale auquel rien n’échappera et qui considère le monde comme un réservoir où puiser sans fin. La machine est l’outil de l’extorsion et de l’extraction. La connaissance n’est plus qu’un appareillage, une forme d’organisation contraignante et totale. Or, constate Mbembe “en dépit de l’accumulation sans précédent de connaissances, les mauvaises idées, pauvres et simplistes, limitées, n’ont jamais autant fait fortune”. La technicisation de la vie ne nous rend pas plus rationnels ou raisonnables.

    >Pour Mbembe, le numérique est la continuation, sous d’autres formes, d’une discrimination sans fin qui vise à créer des zones d’indétermination juridique autour de certains pour les punir préventivement, depuis des approximations qui visent à les transformer en suspects avant même qu’ils aient été jugés ou condamnés. Le brutalisme est une accélération technique de la guerre sociale qui vise à mettre les gens en cage après avoir rendu leurs espaces de vie invivables. Pour certains : c’est la décélération, l’entrave, l’immobilisation, la sédentarisation forcée voire le confinement dans des réserves ou des camps (« L’immobilité des uns, souvent, est une ressource indispensable pour la mobilité des autres »). La prédation dépend de la capacité à contrôler les flux et les mouvements.

    >L’être humain ne poursuit plus sa liberté, mais sa puissance. Cette quête, pour s’assouvir, repose sur une violence organisée, une force destructive seule capable de faire justement démonstration de puissance à l’encontre des races et des classes superflues

    > Le solutionnisme technologique est mis au service de la seule puissance par le biais quasi unique d’une surveillance toujours plus intense et plus profonde. Il est assurément une maladie épidémique, une volonté de puissance qui s’exerce toujours à l’encontre de la liberté du plus grand nombre.
    http://www.internetactu.net/2020/06/0...rt-a-rendre-le-pouvoir-indestructible
    Vote 0

Haut de page

Première / Précédent / Suivant / Dernière / Page 1 de 4 Marque-pages / ESPITALLIER.NET: Tags: pouvoir + politique

À propos - Propulsé par SemanticScuttle