frenchhope: transgression*

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    https://theconversation.com/reseaux-s...i-les-ados-vont-ils-sur-tiktok-150491
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  2. ainsi, les individus ayant le plus tendance à prendre des risques, dans les quatre situations décrites au début de cet article, présentent moins de substance grise cérébrale dans l’ensemble de leur cerveau que les sujets évitant ces pratiques. Et ce après prise en compte de différents facteurs de confusion, dont la taille totale du cerveau, l’âge, le sexe, la sensibilité émotionnelle, la consommation excessive d’alcool et les facteurs génétiques. La matière grise correspond au corps cellulaire des neurones, ce qui signifie que les gens casse-cou ont en moyenne moins de neurones. Mais il n’existe pas une seule région cérébrale associée à la prise de risque ! Plus précisément, la diminution de substance grise s’observe surtout dans l’amygdale, impliquée dans les émotions dont la peur, l’hippocampe, responsable des mécanismes de mémorisation, le cervelet, principalement dévolu à la coordination des mouvements, le striatum ventral, le putamen, l’hypothalamus et le cortex préfrontal dorsolatéral, ces quatre dernières zones ayant un rôle dans les processus hormonaux, de récompense et de planification. Puis les chercheurs ont confirmé ce résultat auprès de 13 000 autres volontaires : la prise de risque n’est pas associée à l’activité d’un unique centre cérébral, mais à des réseaux étendus ; il s’agit donc d’un comportement très complexe.

    D’où vient-il ? Pour répondre à cette question, Aydogan est ses collègues ont aussi réalisé une analyse dite « pangénomique », c’est-à-dire de l’ensemble des gènes, de participants européens à une autre étude (environ 300 000 personnes), afin de trouver des corrélations entre le comportement associé à la prise de risque, les différences cérébrales identifiées et des variants génétiques particuliers. Or leur résultat révèle que les gènes n’expliquent que 2,2 % du comportement de prise de risques ! Preuve que les variations cérébrales identifiées chez les personnes accro aux sensations fortes ne sont pas seulement dues à la génétique, mais aussi, très certainement, à des facteurs de développement et d’éducation.
    https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/neu...s-le-cerveau-d-un-casse-cou-21488.php
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  3. de nombreuses recherches en psychologie morale appliquée au sport ont mis en évidence que la réalité est plus complexe sur les terrains de jeu et que la fin justifie souvent les moyens dès qu’il y a compétition dans un cadre institutionnalisé. Ainsi se développent des attitudes fonctionnelles à l’égard des règles qui seraient alors appréhendées comme des contraintes à maitriser, voire à détourner, pour en tirer des avantages, plus que comme des normes à respecter.

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    Les premières études dans ce domaine concernaient le milieu scolaire et carcéral et montraient que, dans ces contextes, le fonctionnement moral habituellement adopté par les individus était abandonné au profit de la morale du groupe. De nombreux travaux ont été effectués par la suite dans le contexte sportif que ce soit au niveau fédéral ou socio-éducatif.

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    L’assignation au sport de valeurs morales constitue un idéal de vie, où le sportif de haut niveau serait la figure du héros. Les représentations de la logique méritocratique du sport permettent de conforter les illusions d’égalitarisme dans la société. Pourtant, nous ne sommes pas tous égaux sur un stade, le ou les plus méritants ne seront pas forcément les vainqueurs. Le recours au sport est révélateur de notre société où la compétition est la norme. Ce contexte de quête de performance entraine l’individualisme et prône des idéaux qui ne peuvent pas être atteints par tous.
    https://theconversation.com/le-sport-...ration-sociale-pour-les-jeunes-192525
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