frenchhope: travail* + management* + burn-out*

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  1. La situation que nous vivons aujourd’hui est différente. Mais si le télétravail n’a pas été mis en place pour des questions de protection de l’environnement, il a eu dans sa forme contrainte et à temps plein un impact non négligeable : soit la limitation de l’utilisation des transports et la baisse de la pollution conséquente avec 3,3 millions de déplacements évités chaque semaine.

    Malheureusement, cette limitation des déplacements a eu pour conséquence une relocalisation les activités du quotidien autour du domicile, induisant une augmentation des livraisons de repas et de biens de consommation courante.

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    La mise en place du télétravail en mode dégradé contribue à l’augmentation des risques psychosociaux. On constate ainsi une porosité de la frontière vie personnelle et vie professionnelle, un sentiment d’isolement, des formes de stress, des risques de burn-out et, parfois même, le développement de nouvelles formes de harcèlement « connecté ».

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    De nombreuses dérives sont apparues dès le premier confinement : temps de travail excessif, empiétement entre vie professionnelle et vie privée, difficultés à déconnecter. Rappelons que le confinement n’exonère pas les employeurs de leur obligation générale de sécurité à l’égard de leurs employés (articles L4121-1 et L4121-2 du code du travail).

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    Citons en premier lieu l’étude de perception CSA pour Malakoff Humanis, réalisée du 15 au 20 avril 2020 : 33 % des télétravailleurs estiment que ce contexte particulier de télétravail a un impact négatif sur leur charge de travail et 30 % sur leur motivation ; 30 % des télétravailleurs confinés estiment que leur santé psychologique s’est dégradée ; 28 % estiment que leur charge mentale a augmenté ; 39 % ont du mal à articuler temps de vie professionnelle et personnelle ; 45 % des télétravailleurs ont du mal à se déconnecter du travail. Enfin 28 % vivent des tensions avec leur entourage familial.

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    Un sondage OpinionWay – conduit du 31 mars au 8 avril 2020 auprès de 2 005 salariés représentatifs pour le cabinet « Empreinte Humaine » et portant sur l’impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés – montre qu’après seulement 2 à 3 semaines de confinement le bien-être psychologique des travailleurs s’était déjà largement dégradé ; c’est 10 points de moins que l’enquête Eurofound réalisée en 2016. 44 % des collaborateurs se disent anxieux et perçoivent une détresse psychologique. Ceci concerne davantage les femmes (22 % en détresse élevée contre 14 % pour les hommes).
    https://theconversation.com/le-teletr...s-enseignements-du-confinement-151886
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  2. -
    https://theconversation.com/le-burn-o...ome-dun-processus-en-six-temps-142774
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    https://invidious.fdn.fr/watch?v=TiRo...ocal=true&autoplay=0&subtitles=%2C%2C
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  4. -
    https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/psy...icide-a-cause-de-son-travail-8542.php
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  5. Si le stress est installé depuis de longs mois, l’usage de plantes adaptogènes aidera à mieux gérer ses effets sans stimuler et sans avoir d’effet sédatif sur la physiologie. Ces plantes donnent un regain d’énergie le matin et favorisent le sommeil la nuit venue, ce qui est le cas avec l’Ashwagandha, alias Withania somnifera. C’est la plus connue des herbes de l’Ayurvéda pour combattre le stress 7 » . Des études montrent qu’elle diminue le taux de cortisol dans le sang de 26 %. L’Ayurvéda considère aussi qu’elle augmente l’endurance physique, empêche la destruction de la vitamine C en situation de stress, améliore l’acuité mentale, aiguise la mémoire et l’intellect. Son action apaisante empêche les effets du stress d’atteindre les centres excito-moteurs du cerveau.



    Une autre substance antistress recommandée par l’Ayurvéda est le Shilajit. C’est un puissant tonique et adaptogène également utilisé dans la médecine tibétaine. Il réduit Kapha tout en étant bénéfique pour Vata et Pitta. Le Shilajit renforce tous les processus physiologiques, ce qui lui vaut aussi le qualificatif de « destructeur de toutes les faiblesses ». Il combat la fatigue, améliore l’humeur et favorise la régénération cellulaire en amenant oxygène et nutriments au cœur de la cellule. Il favorise entre autre la production de dopamine, responsable du sentiment de bien-être. Le Shilajit est le composant principal du Chyawanprash, préparation traditionnelle de l’Ayurveda qui est à ce tire un excellent antistress. Ces préparations se trouvent facilement sur Internet.
    https://www.forbes.fr/management/la-m...precieuse-a-la-prevention-du-burn-out
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  6. -
    http://www.slate.fr/story/145362/votre-boss-est-il-moins-stresse-que-vous
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  7. -
    http://www.slate.fr/story/134711/education-norme-burn-out
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    http://www.lesechos.fr/monde/asie-pac...onais-se-tuent-au-travail-2057548.php
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