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    https://www.latribune.fr/entreprises-...-la-transition-ecologique-949660.html
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    https://arstechnica.com/science/2022/...ants-and-trees/?utm_social-type=owned
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    https://www.futura-sciences.com/plane...r-du-temps--mais-ca-ne-suffira-pas--]
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    https://www.franceculture.fr/emission...erimentation-de-la-culture-du-chanvre
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  5. Dès la fin des années 1960, des dégâts importants et une forte mortalité furent signalés dans les forêts tchèques et polonaises, au voisinage de centres industriels. Ces dommages, également décrits dans les années 1970 en Allemagne et dans les Vosges, seront d’abord imputés aux oxydes de soufre et d’azote.

    Mais l’attention s’est assez rapidement tournée vers l’ozone, qui est devenu le principal polluant atmosphérique incriminé lorsque des mesures réalisées en forêt ont révélé, en 1987, sa prédominance en fin de printemps et en été.

    L’ozone jouerait donc un rôle dans le dépérissement des forêts, en combinaison avec d’autres facteurs, comme la monoculture, la pauvreté des sols, et des épisodes climatiques défavorables, de sécheresse notamment.

    ***

    Au niveau d’un champ, d’une forêt, d’un écosystème, la toxicité de l’ozone diminue le rendement d’une récolte de céréales ou légumineuses ; elle perturbe la croissance de parcelles forestières.

    Plus globalement, la toxicité de l’ozone peut perturber l’ensemble d’un écosystème en intervenant différemment sur les espèces annuelles et pérennes qui cohabitent. L’exemple des effets différenciés de l’ozone sur des céréales peut amener le monde agricole à des modifications de choix d’espèces cultivables. La structure des paysages pourrait alors être modifiée.
    https://theconversation.com/lozone-et...histoire-dune-relation-toxique-158039
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  6. Le plus inquiétant, c’est que ce coût global est essentiellement lié aux dégâts et pertes, qui ont coûté dix à cent fois plus que les investissements réalisés pour éviter ou contrôler ces invasions.

    De plus, ces coûts augmentent de façon exponentielle au fil du temps : le coût moyen triple en effet chaque décennie depuis 1970. Pour 2017 seulement, notre estimation dépasse les 163 milliards de dollars ; à titre de comparaison, un chiffre plus de vingt fois supérieur aux budgets combinés de l’Organisation mondiale de la Santé et de l’Organisation des Nations unies pour la même année…

    Malgré l’ampleur impressionnante de ces coûts, ceux-ci sont considérablement sous-estimés. Nous n’avons analysé en effet que la moitié la plus robuste des données disponibles (si nous avions pris toutes les données, nous aurions eu une estimation totale quatre fois plus élevée).

    De plus, les impacts des invasions ne sont pas tous monétisés ou monétisables, tandis que ceux qui le sont n’ont pas tous été estimés – moins de 10 % des espèces exotiques envahissantes ont été étudiées pour leurs coûts – et l’ont souvent été dans un nombre très limité de pays.

    Par conséquent, les coûts énormes estimés ici ne représentent que la partie émergée de l’iceberg qu’est le fardeau économique réel des invasions biologiques dans le monde.
    https://theconversation.com/1-288-mil...ns-biologiques-pour-enfin-agir-158204
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