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    https://theconversation.com/le-burn-o...ome-dun-processus-en-six-temps-142774
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  2. «Une hypothèse traverse ce livre, écrit son auteur, le gain d'autonomie, réelle ou postulée, acquis par l'individu des sociétés occidentales, la découverte d'un “moi” plus autonome, le rêve toujours accru d'affranchissement et de liberté ont rendu toujours plus difficile à vivre tout ce qui peut contraindre et entraver. D'autant que s'y ajoute le rappel, du coup possible, des fragilités, des vulnérabilités.»

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    Enfin nos sociétés contemporaines, de plus en plus dominées par des emplois de bureaux et la numérisation, charrient leur lot de «fatigues plus sourdes», davantage psychologiques, liées par exemple au trop plein d'informations. Enfin, ces fatigues actuelles rejoignent plus globalement l'individualisation et la démocratisation évoquées par Georges Vigarello au seuil de son livre.
    https://www.slate.fr/story/198196/fat...-georges-vigarello-france-psychologie
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  3. La situation que nous vivons aujourd’hui est différente. Mais si le télétravail n’a pas été mis en place pour des questions de protection de l’environnement, il a eu dans sa forme contrainte et à temps plein un impact non négligeable : soit la limitation de l’utilisation des transports et la baisse de la pollution conséquente avec 3,3 millions de déplacements évités chaque semaine.

    Malheureusement, cette limitation des déplacements a eu pour conséquence une relocalisation les activités du quotidien autour du domicile, induisant une augmentation des livraisons de repas et de biens de consommation courante.

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    La mise en place du télétravail en mode dégradé contribue à l’augmentation des risques psychosociaux. On constate ainsi une porosité de la frontière vie personnelle et vie professionnelle, un sentiment d’isolement, des formes de stress, des risques de burn-out et, parfois même, le développement de nouvelles formes de harcèlement « connecté ».

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    De nombreuses dérives sont apparues dès le premier confinement : temps de travail excessif, empiétement entre vie professionnelle et vie privée, difficultés à déconnecter. Rappelons que le confinement n’exonère pas les employeurs de leur obligation générale de sécurité à l’égard de leurs employés (articles L4121-1 et L4121-2 du code du travail).

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    Citons en premier lieu l’étude de perception CSA pour Malakoff Humanis, réalisée du 15 au 20 avril 2020 : 33 % des télétravailleurs estiment que ce contexte particulier de télétravail a un impact négatif sur leur charge de travail et 30 % sur leur motivation ; 30 % des télétravailleurs confinés estiment que leur santé psychologique s’est dégradée ; 28 % estiment que leur charge mentale a augmenté ; 39 % ont du mal à articuler temps de vie professionnelle et personnelle ; 45 % des télétravailleurs ont du mal à se déconnecter du travail. Enfin 28 % vivent des tensions avec leur entourage familial.

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    Un sondage OpinionWay – conduit du 31 mars au 8 avril 2020 auprès de 2 005 salariés représentatifs pour le cabinet « Empreinte Humaine » et portant sur l’impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés – montre qu’après seulement 2 à 3 semaines de confinement le bien-être psychologique des travailleurs s’était déjà largement dégradé ; c’est 10 points de moins que l’enquête Eurofound réalisée en 2016. 44 % des collaborateurs se disent anxieux et perçoivent une détresse psychologique. Ceci concerne davantage les femmes (22 % en détresse élevée contre 14 % pour les hommes).
    https://theconversation.com/le-teletr...s-enseignements-du-confinement-151886
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  4. Ce sont ces petites tâches communes qui sont apparues ces quarante dernières années en parallèle des progrès technologiques: trier ses mails, gérer ses mots de passe, planifier son voyage, se renseigner sur la santé, scanner ses courses, contacter les services clients de plateforme en ligne, utiliser une caisse automatique… Un accroissement du travail de l'ombre qui serait bénéfique aux entreprises, selon l'écrivain, puisque ces quelques minutes de notre temps que nous accordons volontiers permettent de réduire la main d'œuvre.
    https://www.slate.fr/story/199287/org...isation-travail-listes-charge-mentale
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    https://www.courrierinternational.com/une/sante-le-burn-out-pandemique-rode
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    https://trustmyscience.com/psychologu...-inquietent-burn-out-general-pandemie
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  7. As long as we remain committed to a workflow based on constant, improvised messaging, we will remain in a state of low-grade anxiety. To return to our motivating question, there are many reasons why e-mail makes us miserable. It creates, for example, a tortuous cycle that increases the amount of work on our plate while simultaneously thwarting, through constant distraction, our ability to accomplish it effectively. We’re also, it turns out, really bad at communicating clearly through a purely written medium—all kinds of nuances are lost, especially sarcasm, which leads to frustrating misunderstandings and confused exchanges. But lurking beneath these surface depredations is a more fundamental concern. The sheer volume of communication generated by modern professional e-mail directly conflicts with our ancient social circuits. We’re miserable, in other words, because we’ve accidentally deployed a literally inhumane way to collaborate.
    https://www.newyorker.com/tech/annals...hnology/e-mail-is-making-us-miserable
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  8. -
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/p...echniques_fr_6116844de4b07c1403147485
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