Le dilemme n’est donc pas entre croissance et décroissance, mais entre un rythme plus ou moins rapide de la consommation des ressources naturelles non renouvelables (en particulier de l’énergie fossile) ou, en termes scientifiques, de la ressource que constitue la « dot entropique de l’humanité »
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« le capitalisme nous oblige à considérer de fait la croissance et le développement comme une identité, c’est-à-dire à voir dans la première la condition nécessaire et suffisante, en tout temps et en tout lieu, du second, l’amélioration du bien-être humain ne pouvant passer que par l’accroissement de la quantité de marchandises. » (souligné par moi).
https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-3-page-241.htm
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https://unherd-com.translate.goog/202...x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
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« Si l’humanité a immensément prospéré ces dernières décennies, la manière dont nous avons atteint cette prospérité fait qu’elle a été acquise à un coût dévastateur pour la nature »
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« Nous sommes totalement dépendants de la nature, » avertit dans une préface au rapport le documentariste et militant écologique britannique David Attenborough. « Elle nous fournit l’air que nous respirons et tout ce que nous mangeons. Mais nous l’abîmons tellement que beaucoup de ses écosystèmes sont au bord de l’effondrement. »
https://www.lemonde.fr/planete/articl...rapport-britannique_6068463_3244.html
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Je ne comprend pas pourquoi Luc Ferry intervient encore dans les médias...
https://archive.is/8ZQ8W#selection-3727.0-3727.103
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