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  1. Le développement personnel consiste simplement à dire aux gens qu’ils peuvent « s’améliorer », ce qui sous-entend qu’ils ne seraient pas assez productifs, pas assez valorisés ou pas assez « développés » pour l’instant. Les livres de développement personnel qui continuent à mettre en avant ce culte de la productivité sont toxiques. Je suggère l’opposé : dans le livre, j’explique justement qu’on en fait déjà assez, qu’on a déjà une valeur propre, comme être humain, qui n’est pas liée à notre performance. Nous n’avons pas besoin d’en faire plus, nous sommes déjà largement productifs. Le problème, c’est que la société ne protège pas suffisamment les gens vulnérables, et qui souffrent chaque jour un peu plus à cause de ces impératifs absurdes.
    https://usbeketrica.com/fr/article/le...la-productivite-est-un-cercle-vicieux
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  2. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les salariés ne sont pas contaminés majoritairement dans les open spaces. Les contaminations ont lieu d'abord dans un bureau partagé de deux à cinq personnes (26,7 %), puis à la cafétéria (23,6 %). Et le masque ne constitue absolument pas une garantie : dans 40,4 % des cas, la personne source et la personne infectée portaient toutes les deux un masque, relève l'étude ComCor. Autre constatation étonnante : « la relation entre le diplôme et le risque d'infection suit une courbe en U ». Les non-bacheliers et les bac+5 sont ainsi les plus à risque d'être contaminés, sans doute en raison de la nature de leur emploi qui les expose à davantage de monde.
    https://www.futura-sciences.com/sante...ollegues-au-bureau-se-savent-malades]
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  3. Une première explication se trouve dans le concept de « routine organisationnelle » qui décrit l’entreprise comme une entité routinière. Les entreprises seraient enclines à sortir de leur routine uniquement si d’autres concurrents ont acquis de meilleures connaissances. Elles vont alors mener un effort de recherche pour être à nouveau compétitives.

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    Les lobbies industriels peuvent notamment financer des scientifiques afin de crédibiliser leurs études. C’est ainsi qu’en 2015, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a autorisé le bisphénol A en se référant aux résultats d’une étude portant sur trois à quatre années consécutives dans le cadre du programme national de toxicologie des États-Unis soutenu par des lobbies industriels du plastique.

    Avec leurs expertises, ces mêmes scientifiques peuvent œuvrer directement dans des comités décisionnels. L’affaire du bisphénol A a d’ailleurs révélé que 8 des 18 experts du groupe nommés par la Commission européenne devant se prononcer sur la dangerosité présumée du bisphénol A pour élaborer une stratégie afin de réglementer les perturbateurs endocriniens, étaient en rapport avec l’industrie chimique.

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    La bataille se joue également auprès de l’opinion publique. PlasticsEurope, qui représente les producteurs européens de matières plastiques, avait ainsi utilisé la perspective d’une éventuelle réduction de l’emploi à la suite de l’interdiction du bisphénol A pour encourager les citoyens intéressés par la préservation de leur travail à soutenir son maintien. Cet argument, impliquant une perte de bien-être de la société, a ralenti les décisions à l’encontre du bisphénol A.

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    Une réflexion sur la régulation des risques, notamment chimiques, devient donc urgente. En effet, à la suite de l’interdiction du bisphénol A, de nouveaux composés de la famille des bisphénols ont émergé : les bisphénols B, F et S. Les premières études toxicologiques sur ces substituts ne sont guère rassurantes ni pour la santé, ni pour l’environnement.
    https://theconversation.com/bisphenol...s-ont-ralenti-son-interdiction-156990
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  4. La surveillance "brouille la frontière entre le lieu de travail et la vie personnelle", souligne Darrell West, vice-président à la Brookings Institution. "Cela érode les protections du secret médical pour de nombreux travailleurs".

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    Le rapport indique que certains systèmes vont jusqu'à identifier les personnes qui ne passent pas assez de temps devant un évier pour constater un lavage des mains inadéquat.

    "L'intrusion dans la vie privée à laquelle sont confrontés les travailleurs est alarmante, d'autant plus que l'efficacité de ces technologies pour atténuer la propagation du Covid-19 n'a pas encore été établie", indique le rapport.
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante...le-lieu-de-travail_151972?xtor=RSS-16
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  5. -
    https://theconversation.com/le-temps-...-daccident-vasculaire-cerebral-140240
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