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https://theconversation.com/les-sept-...milles-de-lagriculture-durable-227407
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un système agro-alimentaire biologique et durable, respectueux de la biodiversité, pourrait être mis en place en Europe et permettrait une cohabitation équilibrée entre agriculture et environnement. Le scénario envisagé repose sur trois leviers. Le premier impliquerait un changement de régime alimentaire, avec une consommation moindre de produits animaux, ce qui permettrait de limiter l’élevage hors sol et de supprimer les importations d’aliments pour le bétail. Le deuxième levier propose l’application des principes de l’agro-écologie, avec la généralisation de rotations de cultures2 longues et diversifiées intégrant des légumineuses fixatrices d’azote, ce qui permettrait de se passer des engrais azotés de synthèse comme des pesticides. Le dernier levier consisterait à rapprocher culture et élevage, souvent déconnectés et concentrés dans des régions ultra-spécialisées, pour un recyclage optimal des déjections animales. Selon ce scénario, il serait donc possible de renforcer l’autonomie de l’Europe, de nourrir la population attendue en 2050, d’exporter encore des céréales vers les pays qui en ont besoin pour l’alimentation humaine, et surtout de diminuer largement la pollution des eaux et les émissions de gaz à effet de serre par l’agriculture. Cette étude est publiée dans One Earth le 18 juin 2021.
https://www.cnrs.fr/fr/une-agricultur...ologique-pour-nourrir-leurope-en-2050
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https://mrmondialisation.org/pourquoi...te-moins-cher-a-lechelle-de-la-nation
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Le problème, c’est que la plupart des gens veulent des réponses faciles à cette question. Malheureusement, il n’y en a pas !
Par exemple, j’ai souvent pensé à devenir végétarien pour des raisons éthiques et environnementales. Mais je n’ai pas envie de manger à la place de la viande du soja ou d’autres aliments importés de l’autre bout du monde, du fait des émissions carbone générées pour les acheminer.
Et si nous devons reconnaître le dilemme éthique que représente le fait de manger des animaux, qu’en est-il des animaux du sol ? Pourquoi écraser, trancher et découper en dés des mini-bêtes dans les exploitations agricoles est acceptable, mais pas lorsqu’il s’agit de grosses bêtes ? Si je suis cette logique jusqu’au bout, dois-je devenir un « fruitarien », qui ne mange que des fruits bio cultivés près de chez lui ?
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On peut, par exemple, défendre que l’agneau néo-zélandais consommé en France a moins d’impact sur l’environnement que l’agneau produit localement. La production d’agneau néo-zélandais implique moins d’intrants « riches » en carbone tels que les engrais. Il existe également un système de transport très efficace en Nouvelle-Zélande, qui repose sur des fermes plus grandes et des camions plus gros. Il permet de produire et de transporter plus de viande avec moins de terre et moins d’émissions. Il en résulte une réduction des gaz à effet de serre par kilogramme de viande.
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C’est alors le moment de cultiver ce que les Danois appellent « l’hygge », un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers. En créant par exemple une ambiance conviviale et chaleureuse à base de ragoûts, de soupes et de bouillons réconfortants.
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Combien de personnes font en effet des bocaux avec leur surplus de fruits et légumes ? Consommer des aliments locaux de saison en grande quantité tout au long de l’année implique de restructurer les systèmes de production alimentaire et les chaînes d’approvisionnement traditionnelles.
Celles-ci ont été mises à mal par la concentration de l’offre alimentaire entre les mains de quelques acteurs. L’hiver met à l’épreuve notre capacité à préserver les richesses de l’été et de l’automne, et le printemps nous soulage avec ses artichauts, pommes de terre nouvelles, rhubarbe, roquette, oseille et épinards. Puis le cycle recommence.
Encore une fois, s’approvisionner de façon réellement durable n’est pas un jeu d’enfant. Il faut pour cela faire revivre les connaissances et les processus culturels que les supermarchés nous ont fait oublier. Mais les avantages d’un approvisionnement alimentaire local et saisonnier sont grands pour la nature et notre santé. Renouer avec la terre et ses rythmes saisonniers fait du bien à tous.
https://theconversation.com/une-alime...e-tout-depend-de-la-ou-jhabite-153330
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« Cette étude épidémiologique, qui incluait 50 000 personnes, a joué le rôle d’un détonateur, se souvient Lucile. Jusqu’ici, on pouvait toujours critiquer la taille ou la composition de la cohorte et pointer des biais. Mais, cette fois, il n’y avait plus de polémiques possibles et, surtout, l’ étude démontrait l’effet cocktail sur la santé de différents pesticides, même à faible dose. »
https://www.facebook.com/notes/jean-m..._key=-1967569133372122987&__tn__=HH-R
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https://www.francetvinfo.fr/replay-ra...-bon-aussi-pour-l-emploi_3180039.html
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