frenchhope: individualisme* + 0_archivebox* + bonheur*

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  1. "Le but de la vie n’est pas l’absence de souffrance, mais plutôt de se montrer à la hauteur de sa souffrance et de ses valeurs. En ce sens, l’idéologie du confort et de la joie véhiculée notamment par la société américaine et sa fameuse « poursuite du bonheur » est pour Frankl un leurre absolu, voire un piège : « (…) un tel système de valeurs est sans doute responsable du fait que le fardeau de la souffrance inévitable est augmenté par la souffrance de ne pas être heureux » 24 » . Dans un monde où le bonheur est représenté comme l’idéal, la souffrance est incompréhensible et les individus qui la vivent sont ainsi doublement punis. Dépasser le slogan marketing d’une vie heureuse remplie des dernières innovations à la mode pour une vie ayant du sens, en particulier dans un monde où les défis ne manquent pas (réchauffement climatique, perte de biodiversité, accroissement des inégalités, faillite des démocraties, …) devient ainsi le moyen de sauver le monde comme de nous sauver, individuellement, nous-mêmes, en servant nos contemporains, les générations futures et le vivant en général."
    https://usbeketrica.com/fr/article/la...-ne-compense-en-rien-notre-souffrance
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  2. -
    https://www.courrierinternational.com...nce-le-vrai-luxe-cest-de-voyager-seul
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  3. Le troisième obstacle auquel se heurtent les couples, c’est l’ennui, conséquence du fait que les sensations fortes sont désormais la norme des relations au sein du couple. Les sensations fortes, qui impliquent un apport permanent d’expériences et de sentiments, ont été institutionnalisées par l’industrie des loisirs et la production massive d’expériences nouvelles. Au cours du XXe siècle, elles sont passées du domaine des objets à celui des sujets ou, plus précisément, du domaine des loisirs à celui des interactions personnelles. À ses débuts, la culture de la consommation se focalisait sur le plaisir que procuraient les objets nouveaux ; aujourd’hui, cette logique consumériste s’étend aux relations amoureuses qui imitent la consommation de loisirs en s’orientant toujours vers des objets nouveaux et exaltants. La culture des sensations fortes est particulièrement manifeste dans le domaine de la sexualité, conçu comme une source intarissable de nouveauté et d’excitation.
    https://www.philomag.com/articles/couple-la-derniere-utopie
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