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  1. plus que son homologue masculin, la chercheuse se focaliserait sur la question de recherche qui l’anime. Même s’il est délicat de formuler une règle applicable à toutes les femmes, la littérature montre que la chercheuse choisit de travailler sur une question qui la motive véritablement, délaissant les questions qui pourraient être travaillées par opportunisme de carrière ou par curiosité secondaire.

    ***

    On sait que l’adoption d’une innovation reste plus une affaire de classe sociale que de genre. Pour autant, depuis les années 1990, on a montré que les femmes adoptent difficilement des innovations qu’elles jugent inutiles – des innovations « gadgets » en quelque sorte.

    Si le constat a été opéré sur le cas de l’adoption d’innovations en lien avec les technologies d’informations, nous posons l’hypothèse que plus de femmes dans le tri d’innovations peuvent permettre de faire le distinguo entre celles qui contribuent réellement à la lutte contre le changement climatique et celles qui sont superflues au-delà de leur apparente attractivité.
    https://theconversation.com/recherche...impliquer-davantage-les-femmes-157269
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  2. Ces interrupteurs, qui ne sont pas reliés au réseau électrique du bâtiment, permettent notamment de de faciliter la rénovation d'une installation sans faire de travaux. Ils suppriment ainsi toute maintenance généralement nécessaire avec l’utilisation de piles, notamment dans le cadre de la gestion de parcs immobiliers.
    https://www.usine-digitale.fr/article...sans-pile-concue-avec-le-cea.N1060129
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  3. Au cœur de la démarche de Time for the Planet, il y a aussi l’open source, condition imposée aux porteurs de projet, c’est-à-dire le fait que leurs innovations pourront être copiées par tous. « Nous proposerons un système de licence qui permettra à n’importe quel entrepreneur dans le monde de copier l’innovation et la commercialiser. Et il aura pour devoir, à son tour, de mettre en open source les améliorations techniques qu’il pourrait apporter à l’innovation ».

    L’open source est un prérequis, aux yeux des six cofondateurs de Time for Planet, dans la lutte contre le réchauffement climatique. « On n’a qu’une génération pour réussir, si bien qu’il faut s’assurer que les innovations les plus pertinentes puissent se répandre au plus vite à l’échelle mondiale », reprend Coline Debayle. D’une certaine façon, on ne cherche pas à créer des entreprises, mais des marchés. »

    Pour garantir ce principe, le fonds d’investissement prévoit de prendre la majorité des parts dans les entreprises créées. « Mais alors qu’habituellement, l’innovateur perd peu à peu le contrôle de sa société à mesure qu’il lève des fonds, nous voulons faire l’inverse, assure Coline Debayle. Dès le début, on établira un pacte prévoyant des objectifs environnementaux et de retour sur investissement. Dès qu’ils seront remplis, le porteur de projet pourra nous sortir à tout moment. » A terme, les six Lyonnais espèrent rassembler un milliard d’euros -entre les actions et les retours sur investissement- et créer 100 entreprises.
    https://www.20minutes.fr/planete/2936...-investissement-citoyen-oeuvre-climat
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