Chaque année, un demi-million de tonnes de petits poissons frais – des sardinelles et des bongas qui auraient pu nourrir 33 millions de personnes – sont ainsi pêchés au large des côtes de l’Afrique de l’Ouest pour être transformés en nourriture destinée aux saumons de Norvège, aux truites de Chine ou aux cochons de France. Réputées jusqu’à présent très poissonneuses, et peu surveillées, les eaux du Sénégal, de la Gambie et de la Mauritanie sont devenues les nouveaux « hubs » du marché mondial de farine et d’huile de poisson. En moins de dix ans, une trentaine d’usines de transformation ont ouvert leurs portes dans les trois pays. Au-delà du désastre écologique que cela représente pour la région, ce business prive surtout les populations côtières de leurs sources de revenus et de leurs ressources en protéines animales principales.
https://www.temoignages.re/politique/...surpeche-en-afrique-de-l-ouest,101511
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Des recherches récentes montrent que l’abondance de stimuli en rapport avec la nourriture dans notre environnement (odeurs, sons, publicités) est l’une des principales causes de surconsommation.
Nous sommes ainsi réticents à changer notre alimentation, quand bien même celle-ci n’est pas diététique. Pourtant, le mot diététique vient du grec diaita qui signifie « mode de vie ». Mais malgré tout, nous voulons continuer à manger ce qui nous plaît sans avoir à changer notre façon de vivre. Tout en gardant un esprit sain dans un corps sain…
https://theconversation.com/maitriser...illir-en-restant-en-bonne-sante-99398
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