Une des rares études menées en Europe sur l’efficacité de la « méthode de Miyawaki » fait état de 61 à 84 % de mortalité des arbres 12 ans après la plantation. Ce n’est pas un problème en soi, cela signifie seulement que toutes les jeunes pousses plantées dans une métropole ne donneront pas, à terme, des arbres. La nuance est de taille.
https://theconversation.com/methode-m...e-sont-pas-vraiment-des-forets-155091
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https://www.franceculture.fr/emission...omment-aider-la-biodiversite-en-ville
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En ville, l’idée de «débitumiser» et de «désimperméabiliser» fait son petit chemin. Paris promet de faire sauter le bitume sur 12,5 hectares d’ici 2020. A Angers, classée première au palmarès des «villes vertes», la municipalité «propose aux habitants de couper un bout de trottoir devant leur résidence, à charge pour eux de végétaliser ces espaces», explique Isabelle Le Manio, adjointe à l’environnement, aux espaces verts et aux cimetières sur le site l’Info durable. Résultat : 400 mini-jardins.
Aucun militant de la question climatique ne prétend que des plantations massives d’arbres pourraient absorber les millions de tonnes de CO2 produites par l’activité humaine. En revanche, leur présence, même modeste, fait du bien aux poumons. Dans une étude mondiale, intitulée «Planter pour un air sain» et présentée en 2016, l’ONG environnementale The Nature Conservancy a évalué l’impact des arbres sur la qualité de l’air : un seul peut éliminer jusqu’au quart de la pollution qui l’entoure dans un rayon de cent mètres, affirme l’étude. Un grand sujet peut «avaler» jusqu’à 5,4 tonnes de CO2 par an et 20 kilos de poussière, a calculé de son côté le rapport du cabinet Astérès, commandé par l’Union nationale des entreprises du paysage.
Combien ça coûte de planter ? Toujours moins que de construire. Dans les aménagements d’espaces publics, c’est le minéral qui alourdit l’addition. Et si l’on dépasse la seule lecture des factures, on constate que les «externalités positives» des arbres, en clair leurs bons effets, ont une valeur tout à fait chiffrable. Ainsi le rapport du cabinet Astérès estime-t-il qu’augmenter les espaces verts des villes de 10 % ferait baisser les dépenses de santé de 94 millions d’euros en diminuant les cas d’asthme et d’hypertension.
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http://www.numerama.com/sciences/2313...verticale-anti-pollution-en-2018.html
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