Le dilemme n’est donc pas entre croissance et décroissance, mais entre un rythme plus ou moins rapide de la consommation des ressources naturelles non renouvelables (en particulier de l’énergie fossile) ou, en termes scientifiques, de la ressource que constitue la « dot entropique de l’humanité »
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« le capitalisme nous oblige à considérer de fait la croissance et le développement comme une identité, c’est-à-dire à voir dans la première la condition nécessaire et suffisante, en tout temps et en tout lieu, du second, l’amélioration du bien-être humain ne pouvant passer que par l’accroissement de la quantité de marchandises. » (souligné par moi).
https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-3-page-241.htm
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@NDA: Je me méfie comme la peste de ce genre d’individus qui fait un constat très juste (donc séduisant) mais pour proposer des solutions non moins dangereuses que ce qu’il dénonce. Avec lui l’humain resterait exploité, sans repos. Au fond je me demande s’il n’est pas royaliste…
https://scandal.leshathor.com/importa...-a-voir-sur-le-grand-reset-economique
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la technique s’auto-accroît en suivant sa propre logique, piétinant la démocratie, épuisant les ressources naturelles, rendant l'avenir impensable.6 Et Étienne Maclouf de conclure : « Désormais basée sur l'innovation, notre économie tend à élever les organisations industrielles et technologiques » au rang d'entités biologiques qu'il faut libérer … » en accroissant leurs capacités stratégiques et en favorisant leur accès aux ressources dont elles dépendent pour fonctionner. » Ce qui les met stratégiquement en conflit avec les intérêts de la communauté humaine et l’idée de communs.
https://blogs.mediapart.fr/edition/co...ia#at_medium=custom7&at_campaign=1047
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