frenchhope: économie* + culture*

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    https://www.inegalites.fr/Les-pratiqu...es-categories-sociales-et-les-revenus
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  2. Si la foule peut être tentée d’investir dans un projet durable comme la création d’une entreprise, un projet immobilier ou encore un nouveau produit technologique, la dimension éphémère du spectacle vivant peut en effet freiner de potentiels investisseurs.

    De plus, le spectacle vivant reste un bien d’expérience dont l’évaluation repose plus sur l’émotion que sur des faits tangibles. Réussir à convaincre des individus de financer un projet de spectacle vivant en se fondant sur une description factuelle sans possibilité de le vivre se révèle être un challenge supplémentaire pour les porteurs de tels projets.

    Enfin, le spectacle vivant reste majoritairement une activité à but non lucratif, ce qui peut limiter la mise en place de contreparties possiblement attractives pour les investisseurs en échange de leur don.

    ***

    Les festivals qui ont le plus de chances de réussir leur campagne de collecte de fonds semblent posséder une forte dimension communautaire. Ils visent davantage à rassembler les individus plutôt que la célébration d’un art en particulier.

    Par ailleurs, plus importante imagine-t-on la taille du festival, plus l’objectif de financement possède-t-il de chance d’être atteint.
    https://theconversation.com/le-crowdf...-il-sauver-le-spectacle-vivant-161033
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  3. > Sur des sites comme SoundCloud, Bandcamp ou Jamendo, les artistes amateurs et les musiques en accès libre sous licence « creative commons » représentent une offre infinie.

    >Autrement plus complexe est la question éditoriale et esthétique du choix de sa musique. On connait le problème des « bulles de filtre » ou de « l’enclosure de connaissance ». Comme avec les radios hertziennes ou les web-radios, les sites de streaming ont tendance à dérouler une musique à partir d’une « couleur » musicale déterminée – et c’est la singularité des playlists. Au lieu de privilégier l’éclectisme, les plateformes s’efforcent de vous garder dans votre « zone de confort » – une stratégie qui peut être dictée par les préférences des auditeurs, ses attentes (une forme de « servitude volontaire »), mais aussi par le modèle économique des plateformes. De même qu’une radio de « smooth jazz » vous limite dans le jazz facile, l’algorithme des sites de streaming a tendance à vous enfermer dans votre bulle musicale. « Vous avez écouté Callas ? Vous pourriez aimer Pavarotti ! ». A partir de ce que vous avez précédemment écouté, des titres similaires sont enchaînés selon le modèle dit de l’ « autoplay » : quels sont-ils ? comment sont-ils choisis ? les sites de streaming sont-ils incités à vous proposer des titres de « fond de tiroir » mal ou pas rémunérés ? les labels et les éditeurs peuvent-ils payer directement, ou indirectement, les plateformes pour être plus visibles ? Autant de questions qui se posent.
    https://www.franceculture.fr/musique/...le-streaming-la-vie-serait-une-erreur
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    https://www.nextinpact.com/lebrief/46...u-profit-protection-sociale-createurs
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    https://www.bsmart.fr/video/4268-smart-tech-partie-04-mars-2021
    Tags: , , , , par frenchhope (2021-03-05)
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