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    https://sciencepost.fr/ils-inventent-...alise-avec-les-modeles-au-lithium-ion
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  2. >Partout la sécurité l’emporte sur la liberté (le libéralisme qui devrait pourtant prôner la liberté préfère finalement asseoir son pouvoir par la sécurité et la police, ce qui n’en fait plus tant un libéralisme qu’un fascisme). La société sécuritaire vise à « contrôler et gouverner les modes d’apparition »… Et pour cela, la technologie est son meilleur outil puisqu’il permet de justement de créer des “apparitions”, c’est-à-dire de prédire le risque et de le contenir, de calculer des probabilités, de faire apparaître des fantômes, des aberrations, des justifications chiffrées à l’inacceptable, de transformer les gens en spectres, les signes en signaux même et surtout si leur interprétation est fausse. La raison numérique a ainsi redonné vie au fantasme de la connaissance intégrale auquel rien n’échappera et qui considère le monde comme un réservoir où puiser sans fin. La machine est l’outil de l’extorsion et de l’extraction. La connaissance n’est plus qu’un appareillage, une forme d’organisation contraignante et totale. Or, constate Mbembe “en dépit de l’accumulation sans précédent de connaissances, les mauvaises idées, pauvres et simplistes, limitées, n’ont jamais autant fait fortune”. La technicisation de la vie ne nous rend pas plus rationnels ou raisonnables.

    >Pour Mbembe, le numérique est la continuation, sous d’autres formes, d’une discrimination sans fin qui vise à créer des zones d’indétermination juridique autour de certains pour les punir préventivement, depuis des approximations qui visent à les transformer en suspects avant même qu’ils aient été jugés ou condamnés. Le brutalisme est une accélération technique de la guerre sociale qui vise à mettre les gens en cage après avoir rendu leurs espaces de vie invivables. Pour certains : c’est la décélération, l’entrave, l’immobilisation, la sédentarisation forcée voire le confinement dans des réserves ou des camps (« L’immobilité des uns, souvent, est une ressource indispensable pour la mobilité des autres »). La prédation dépend de la capacité à contrôler les flux et les mouvements.

    >L’être humain ne poursuit plus sa liberté, mais sa puissance. Cette quête, pour s’assouvir, repose sur une violence organisée, une force destructive seule capable de faire justement démonstration de puissance à l’encontre des races et des classes superflues

    > Le solutionnisme technologique est mis au service de la seule puissance par le biais quasi unique d’une surveillance toujours plus intense et plus profonde. Il est assurément une maladie épidémique, une volonté de puissance qui s’exerce toujours à l’encontre de la liberté du plus grand nombre.
    http://www.internetactu.net/2020/06/0...rt-a-rendre-le-pouvoir-indestructible
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    https://www.lefigaro.fr/flash-eco/ibm...ls-de-reconnaissance-faciale-20200609
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    https://trustmyscience.com/technique-...voir-atomes-individuels-premiere-fois
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    https://www.futura-sciences.com/sante...v-portable-desinfecter-surfaces-81346
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    https://trustmyscience.com/appareil-capable-simuler-gout-nourriture
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  7. Cependant, les leviers d’actions sont loin de se limiter à des choix technologiques. La foi inconsidérée en la science ou la technique a montré ses limites. Est-il raisonnable d’espérer que la technologie, à elle seule, résoudra les problèmes qu’elle pose ? Qui oserait encore proclamer aujourd’hui que « nous sommes parvenus à dominer la famine, les épidémies et la guerre » ? Un premier levier d’action consisterait à forger les outils mentaux qui nous permettront de réagir à une situation encore jamais vue.

    Les termes de « croissance verte » ou de « développement durable » sont des oxymores : sans croissance de la consommation d’énergie pas de croissance du flux formel d’échanges monétaires, aussi appelé PIB. Parce qu’il semble impossible, ou extrêmement difficile, de consommer moins d’énergie tout en maintenant la croissance économique telle qu’elle est définie actuellement, il est irresponsable de miser sur la perpétuation de cette dernière.

    La décroissance n’est pas l’opposé de la croissance économique : elle se place sur un plan plus large, positif, aussi qualitatif que quantitatif. Considérant que la société de consommation apporte plus de nuisances que de bienfaits, elle invite à repenser l’économie, la culture et la politique afin de limiter tant la consommation d’énergie que l’empreinte écologique tout en réduisant les inégalités. Ce n’est donc pas une simple diminution quantitative : c’est un changement de structure. Si la société de consommation était comparée à une voiture, la croissance économique et énergétique serait son carburant. Passer à la décroissance ne consisterait pas à priver la voiture de carburant, mais plutôt à la remplacer par un vélo.
    https://theconversation.com/penser-la...imites-physiques-de-la-planete-138842
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    https://blogs.verts-vd.ch/marthaler/2...-solaire-avenergy-ne-dit-rien-de-plus
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