Le dilemme n’est donc pas entre croissance et décroissance, mais entre un rythme plus ou moins rapide de la consommation des ressources naturelles non renouvelables (en particulier de l’énergie fossile) ou, en termes scientifiques, de la ressource que constitue la « dot entropique de l’humanité »
---
« le capitalisme nous oblige à considérer de fait la croissance et le développement comme une identité, c’est-à-dire à voir dans la première la condition nécessaire et suffisante, en tout temps et en tout lieu, du second, l’amélioration du bien-être humain ne pouvant passer que par l’accroissement de la quantité de marchandises. » (souligné par moi).
https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-3-page-241.htm
Vote 0
-
http://partage-le.com/2015/03/oubliez-les-douches-courtes-derrick-jensen
Vote 0
20 % de la population consomme 86% des ressources naturelles, dont la moitié a déjà disparu en un siècle (il faudra beaucoup moins de temps pour épuiser le reste). Non content de piller le bien commun, notre modèle économique fondé sur le développement exponentiel, détruit inexorablement la nature, p...
http://www.terre.tv/fr/1150_simplicitolontaire-et-doissance
Vote 0