Tags: science* + 0_archivebox* + covid-19*

24 signet(s) - Classer par : Date ↓ / Titre / Vote /

  1. -
    https://www.franceculture.fr/sciences...tique-decredibilise-t-elle-la-science
    Vote 0
  2. -
    https://marchenry.org/2020/09/12/35avocats-et-covid-19
    Vote 0
  3. -
    https://www.nexus.fr/actualite/billet...ur/philippe-guillemant-transhumanisme
    Vote 0
  4. Reste le problème des porteurs sains du virus. C’est ici que l’on réalise le manque de volonté évident de nos dirigeants et leurs conseillers scientifiques. Prennent-ils vraiment prendre le problème à bras le corps ? On sait que si une personne est en état d’infection et asymptomatique, son système immunitaire est état d’alerte maximale. Or, cette alerte laisse des traces dans le sang de la personne infectée. En particulier, il existe une protéine dite « C-réactive » (CRP) qui chez un adulte sain circule dans le sang avec une teneur inférieure à 3 mg/L. En cas d’inflammation liée à une infection, le taux de cette protéine CRP peut être multiplié jusqu’à 10 000 fois. On peut atteindre une concentration de 500 mg/L.
    https://marchenry.org/2020/04/26/7%e2%80%a2statistiques-et-tests
    Vote 0
  5. -
    https://www.francetvinfo.fr/sante/mal...e-de-la-science-business_4014381.html
    Vote 0
  6. >Un bon polar
    >
    >C’est ce qui vient se passer avec l’article du Lancet. On y trouve tous les ingrédients du bon polar. Une revue prestigieuse et des chercheurs interlopes faisant confiance à une société douteuse, Surgisphere, inventant des données. Il y a aussi, la directrice des ventes et du marketing de ladite société, Ariane Anderson. Elle serait en fait l’actrice X, Skye Daniels, une call-girl travaillant à Las Vegas, antre de la débauche et du jeu. Il y a bien sûr notre druide Marseillais, nobélisable en goguette, dont on veut dézinguer le traitement. Le virus SARS-CoV-2 qui a réussi à mettre à genoux l’économie mondiale, joue pour sa part le rôle de détonateur. Enfin, en toile de fond, une organisation mondiale de la santé (OMS) qui semble être à la botte des industries pharmaceutiques.

    >voici la conclusion à laquelle est arrivée le chercheur John P. A. Ioannidis en 2005. « La plupart des études scientifiques sont erronées. Elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité ». Cela fait donc 15 ans qu’on sait qu’il y a, pour paraphraser Hamlet, « quelque chose de pourri dans l’empire de la science ». Si le problème est patent en médecine, aucune discipline n’est aujourd’hui à l’abri des fraudes.

    >Je l’ai bien sûr fait pour me faire ma propre opinion. Ce qui est frappant, ce sont les chiffres. L’étude portait sur 96 032 patients provenant de 671 hôpitaux répartis sur 6 continents. Elle a officiellement démarré le 14 avril 2020 pour publication le 22 mai 2020. Je sais bien qu’aujourd’hui, tout va très vite. Toutefois, 5 semaines de travail, cela fait environ 3 millions de secondes. Or, il faut sélectionner les dossiers, faire tourner la bécane informatique, interpréter les résultats et rédiger l’article. Pour 96 000 malades, cela nous donne 3 000 000/96 000 = 31 secondes de travail par dossier. Chapeau bas les artistes. Par comparaison, le stakhanovisme, c’est une promenade de santé.

    >Regardez bien l’image qui illustre cette chronique. J’y ai mis l’impressionnant tableau de chasse industriel de ce chercheur Suisse. En trente ans de recherche, ce monsieur a visiblement mangé à toutes les gamelles pharmaceutiques.
    https://marchenry.org/2020/06/07/24%E...0%A2le-bistouri-et-la-feuille-de-chou
    Vote 0
  7. > Complément d’enquête, France 2

    > L’Amazonie serait donc un repère de bêtes malsaines et un nid à virus, bactéries et autres parasites parasites. On demande alors aux autochtones comment ils arrivent à survivre dans cet enfer. Ils ne savent pas, mais par contre on apprend qu’ils boivent de l’eau non traitée…

    > Grosse émotion à la trentième minute où je vois un malade se soigner avec un bol d’air Jacquier. Car, c’est le seul truc qui semble marcher nous dit un ex-malade toujours pas guéri. Mais bien sûr le nom de Jacquier ne sera même pas cité. Un truc qui marche, pensez-vous! Absolument aucun intérêt. Je tiens vraiment à remercier ici le caméraman. Car, d’un geste preste, il nous montre pendant une brève seconde la marque de l’appareil. L’honneur de France 2 est sauvé et pour cela il sera soit décoré, soit mis à la porte.

    > Un ange de l’épigénétique passe, visiblement déçu qu’on ne lui demande pas son avis. Nous en sommes à la quarante-septième minute et je commence à broyer du noir.

    > Par contre, j’apprends qu’il existe aussi deux laboratoires P3, nettement moins sécurisés à Wuhan. Mais au lieu de creuser la piste, on passe après la soixante dixième minute à la théorie du complot. Un spécialiste, Simon Wain-Hobson, nous rassure en 30 secondes. Il déclare de manière formelle que le virus est naturel.

    > Je tenais à vous résumer cette émission pour vous faire économiser du temps. Et aussi, pour souligner le caractère très diaphane, pour rester poli, de nos journalistes. On aurait pu par exemple parler de ce fameux insert de 4 acides aminés (PRRA) à la jonction S1-S2 de la protéine S du SARS-CoV-2. Voir ici pour la correspondance entre lettres et acides aminés.

    > Car la séquence basique PRRAR permet à une protéine humaine, la furine, de couper la protéine S en deux morceaux S1 et S2 ( le missile). Un insert qui fait que le virus SARS-CoV-2 est infectieux chez l’homme, alors que son «papa», RaTG13, ne l’est pas. Mais ce site de clivage se retrouve aussi présent dans des virus bien peu sympathiques : HIV, influenza, dengue, virus Ebola virus de Marburg, MERS-CoV, papillomavirus. Les toxines de l’anthrax et l’exotoxine de la bactérie pseudomonas entrent aussi dans la cellule après clivage par la furine. Je sais bien que la plupart des virologues pensent que cet insert de 4 lettres peut être le fruit d’une mutation naturelle. Mais ils ne peuvent pas non plus le démontrer.

    > Donc, la «bonne information», bien de chez nous me semble bien orientée. Car j’ai appris que je risque ma vie chaque fois que vais dans la nature. Que je peux aussi rester malade pendant plus de 60 jours et peut-être ne jamais guérir. Que si l’on ne sait rien sur le virus, on est cependant certain qu’il est naturel. Bref, la nature est dangereuse et heureusement qu’il y a la société pour nous protéger. Si cela rassure ma tête, mes tripes, elles, font glouglou. Quant à mon cœur, il me dit que l’on nous mène en bateau.
    https://marchenry.org/2020/05/31/21%E2%80%A2la-zoonose
    Vote 0

Haut de page

Première / Précédent / Suivant / Dernière / Page 2 de 3 Marque-pages / ESPITALLIER.NET: tagged with "science+0_archivebox+covid-19"

À propos - Propulsé par SemanticScuttle