> malgré sa forte proportion de véganes et l’abondance de son offre végétale et près de 4 % de sa population qui se déclare végane » , Israël a une consommation de viande qui monte à 99 kilos par personne et par an. L’offre végane n’entraîne donc pas forcément une réduction de la souffrance animale.
https://theconversation.com/le-vegani...-de-la-societe-de-consommation-230992
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https://www.elle.fr/Societe/News/Fume...ryptage-d-Alix-Girod-de-l-Ain-4057086
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Le dilemme n’est donc pas entre croissance et décroissance, mais entre un rythme plus ou moins rapide de la consommation des ressources naturelles non renouvelables (en particulier de l’énergie fossile) ou, en termes scientifiques, de la ressource que constitue la « dot entropique de l’humanité »
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« le capitalisme nous oblige à considérer de fait la croissance et le développement comme une identité, c’est-à-dire à voir dans la première la condition nécessaire et suffisante, en tout temps et en tout lieu, du second, l’amélioration du bien-être humain ne pouvant passer que par l’accroissement de la quantité de marchandises. » (souligné par moi).
https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-3-page-241.htm
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