>Seulement, ces initiatives ne sont pas aussi positives qu'elles le laissent penser. Elles restent ancrées dans un paradigme dans lequel le comportement individuel est le pivot du changement, plutôt que les structures politiques et économiques qui nous entourent. Ainsi, de nombreuses organisations utilisent les principes et les politiques du bien-être pour renforcer les hiérarchies existantes, sans aucune remise en question.
>Il s'agirait pour les établissements d'une tentative stratégique pour améliorer la productivité, réduire les coûts, conserver une bonne réputation et promouvoir la conformité. Et ce, sans que les employés ne s'en rendent réellement compte. Les coins détente, les salles de sieste, les baby-foot et toutes les infrastructures vendant du rêve permettraient en fait de compenser les heures supplémentaires, la mauvaise ambiance entre collègues et les semaines de travail intensives.
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>En outre, certains employés ressentiraient davantage de pression, considérant désormais que participer à ces programmes et ateliers est une tâche professionnelle semi-obligatoire; au point que la non-participation entraînerait une stigmatisation. Au bout du compte, leur quotidien rimerait avec stress et... mal-être.
https://www.slate.fr/story/241606/pou...ique-sante-mentale-entreprise-travail
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https://theconversation.com/stress-le...t-might-protect-you-from-covid-153361
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https://www.cerveauetpsycho.fr/racine...oniques/mon-ami-le-chocolat-22663.php
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En quête de sens, dans leur vie quotidienne comme dans leur façon de travailler, les jeunes privilégient la construction personnelle et la recherche d’un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Leur intérêt pour la méditation montre qu’il ne s’agit pas d’un épiphénomène en réponse à la crise sanitaire, mais avant tout une manière de vivre au quotidien et l’art de cultiver l’unité corps-esprit.
https://theconversation.com/la-medita...gne-du-terrain-chez-les-jeunes-163919
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