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  1. >Seulement, ces initiatives ne sont pas aussi positives qu'elles le laissent penser. Elles restent ancrées dans un paradigme dans lequel le comportement individuel est le pivot du changement, plutôt que les structures politiques et économiques qui nous entourent. Ainsi, de nombreuses organisations utilisent les principes et les politiques du bien-être pour renforcer les hiérarchies existantes, sans aucune remise en question.

    >Il s'agirait pour les établissements d'une tentative stratégique pour améliorer la productivité, réduire les coûts, conserver une bonne réputation et promouvoir la conformité. Et ce, sans que les employés ne s'en rendent réellement compte. Les coins détente, les salles de sieste, les baby-foot et toutes les infrastructures vendant du rêve permettraient en fait de compenser les heures supplémentaires, la mauvaise ambiance entre collègues et les semaines de travail intensives.
    >
    >En outre, certains employés ressentiraient davantage de pression, considérant désormais que participer à ces programmes et ateliers est une tâche professionnelle semi-obligatoire; au point que la non-participation entraînerait une stigmatisation. Au bout du compte, leur quotidien rimerait avec stress et... mal-être.
    https://www.slate.fr/story/241606/pou...ique-sante-mentale-entreprise-travail
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  2. "Sauf que ça ne roule pas. En fait le client ne comprend pas ce qu’il note. Par exemple certains te sanctionnent parce qu’ils pensent que tu les balades, que tu fais des détours , comme à l’époque des taxis. Mais pour les VTC, le tarif de la course est fixe ! Et puis des fois t’es juste fatigué. Alors peut-être que ton chauffeur, il te fait pas la causette, voire il se perd un peu. Parce qu’il bosse douze heures d’affilée.»"

    En d’autres termes dans leur système, défiant toute logique mathématique, un 0 vaut un 6. Ce système, adopté par les plus grandes entreprises américaines - au premier rang desquelles on retrouve par exemple Apple, Microsoft ou Starbucks - permet de mesurer la «fidélité» des consommateurs. L’idée étant, selon le cabinet de conseil qui vante et vend la méthode, de tout mettre en œuvre pour «devenir une entreprise entièrement tournée vers le client et intensifier une croissance profitable». C’est noté.

    Il faut dire que chez Citroën, un 8 sur 10 attribué par un acheteur en concession ou par un automobiliste qui passe dans un centre d’entretien pour son véhicule «est une mauvaise note», selon le responsable régional du service client de Citroën concerné. Pire : toute évaluation inférieure à 7 attribuée par un consommateur devient automatiquement une «hot alert»
    http://www.liberation.fr/france/2018/...es-l-autre-guerre-des-etoiles_1639923
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