frenchhope: étudiant⋅e*

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  1. Un détecteur CO2 est aussi facile à utiliser qu’un thermomètre. On peut s’en procurer un pour 100 ou 200 euros. « C’est l’équivalent de ce que coûtent à l’État trois tests PCR ! », indique François Pétrélis. C’est dire si l’instrument serait vite amorti.

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    « La situation épidémiologique actuelle reste préoccupante, et l’amélioration de la ventilation est une des mesures de prévention réalisables à court terme. À plus long terme, une meilleure ventilation permettrait de réduire les contaminations liées aux maladies respiratoires saisonnières, et d’être mieux préparé en cas de nouvelle pandémie transmise par aérosols »

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    Le taux de CO2 n’est pas seulement un indicateur de la ventilation. C’est aussi une problématique en soi. Au-delà de 1 000 ppm, les capacités cognitives des personnes commencent à être affectées. La concentration diminue et les maux de tête surviennent. C’est là un enjeu d’importance : d’après une enquête de 2018 de l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur, dans les écoles maternelles et élémentaires, dans 36 % des établissements on trouve au moins une classe où le taux de CO2 se situe autour de 1 700 ppm !

    Autre argument : la bonne ventilation des espaces intérieurs réduirait la concentration de certaines molécules toxiques comme les composés organiques volatils (par exemple le benzène ou le toluène) ou les biocontaminants (comme les moisissures ou les allergènes provenant des acariens). Ainsi, la qualité de l’air intérieur et la lutte anti Covid-19 sont, en fait, un seul et même combat.
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/la...on-une-arme-fatale-contre-le-covid-19
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  2. À l’heure des discriminations et des inégalités, la question qui s’impose est la suivante : à qui appartient la ville aujourd’hui ?

    Il semblerait aux catégories sociales privilégiées, qui ont détourné les dispositifs tels qu’Airbnb, qui permettait initialement aux classes moyennes d’augmenter leur pouvoir d’achat.

    Le choix et les stratégies des groupes majoritaires permettent de conserver cet entre-soi nécessaire à la reproduction sociale. Mais il s’opère toujours au détriment des autres : à savoir les classes populaires et les personnes discriminées en fonction des critères liés à l’origine et à la précarité sociale notamment.

    Sans remettre en cause le droit à la propriété, peut-être s’agirait-il d’en réglementer l’usage et s’assurer que les biens dédiés à Airbnb actuellement en vente à Paris (faute de touristes) seront remis au parc locatif.
    https://theconversation.com/les-conse...s-de-lairbnbisation-des-villes-157004
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