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  1. @NDA: débat trop centré sur la vitamine B12 et pas assez sur d'autres nutriments comme le collagène (bouillons d'os), la coenzyme Q10 (puissant antioxydant) ou encore les omega-3 à chaîne longue (EPA/DHA) qu'on ne retrouve pas dans le végétal et la qualité des protéines (acides aminés essentiels) qui facilitent largement une meilleure santé pour les gens qui vont consommer de la viande seulement une ou deux fois par semaine (par exemple 1 viande blanche et 1 viande rouge) et des oeufs et des yaourts comme petits suisses, skyr ou à la greque pour avoir des protéines facilement sans viande. Alors qu'en étant végétarien/végétalien, il faut beaucoup plus manger en volume et penser à systématiquement mixer les sources pour avoir tous les acides aminés essentiels. Sinon j'aime bien son point de vue sur la comparaison avec la nature et l'utilisation des compléments alimentaires. Et pour finir, il ne faudrait pas oublier les algues et les mycoprotéines de certains champignons si l'on souhaite se passer de la consommation de viande.
    https://www.youtube.com/watch?v=WFLy1UrDmXo
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  2. -
    https://www.futura-sciences.com/plane...ime-alimentaire-planete-meilleur-7718
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  3. >Selon Solar Foods, “la Solein utilisera 100 fois moins d’eau par kilo de protéines, 20 fois moins de terres cultivées et n’émettra qu’un cinquième du CO₂ émis par les cultures conventionnelles”. Déjà approuvée comme ingrédient alimentaire à Singapour cet automne, la Solein attend encore les autorisations du Royaume-Uni, des États-Unis et de l’Europe.
    https://www.courrierinternational.com...ez-bien-un-peu-de-poudre-de-bacteries
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  4. -
    https://www.franceculture.fr/economie...ales-a-moindre-impact-pour-la-planete
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  5. Le problème, c’est que la plupart des gens veulent des réponses faciles à cette question. Malheureusement, il n’y en a pas !

    Par exemple, j’ai souvent pensé à devenir végétarien pour des raisons éthiques et environnementales. Mais je n’ai pas envie de manger à la place de la viande du soja ou d’autres aliments importés de l’autre bout du monde, du fait des émissions carbone générées pour les acheminer.

    Et si nous devons reconnaître le dilemme éthique que représente le fait de manger des animaux, qu’en est-il des animaux du sol ? Pourquoi écraser, trancher et découper en dés des mini-bêtes dans les exploitations agricoles est acceptable, mais pas lorsqu’il s’agit de grosses bêtes ? Si je suis cette logique jusqu’au bout, dois-je devenir un « fruitarien », qui ne mange que des fruits bio cultivés près de chez lui ?

    ***

    On peut, par exemple, défendre que l’agneau néo-zélandais consommé en France a moins d’impact sur l’environnement que l’agneau produit localement. La production d’agneau néo-zélandais implique moins d’intrants « riches » en carbone tels que les engrais. Il existe également un système de transport très efficace en Nouvelle-Zélande, qui repose sur des fermes plus grandes et des camions plus gros. Il permet de produire et de transporter plus de viande avec moins de terre et moins d’émissions. Il en résulte une réduction des gaz à effet de serre par kilogramme de viande.

    ***

    C’est alors le moment de cultiver ce que les Danois appellent « l’hygge », un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers. En créant par exemple une ambiance conviviale et chaleureuse à base de ragoûts, de soupes et de bouillons réconfortants.

    ***

    Combien de personnes font en effet des bocaux avec leur surplus de fruits et légumes ? Consommer des aliments locaux de saison en grande quantité tout au long de l’année implique de restructurer les systèmes de production alimentaire et les chaînes d’approvisionnement traditionnelles.

    Celles-ci ont été mises à mal par la concentration de l’offre alimentaire entre les mains de quelques acteurs. L’hiver met à l’épreuve notre capacité à préserver les richesses de l’été et de l’automne, et le printemps nous soulage avec ses artichauts, pommes de terre nouvelles, rhubarbe, roquette, oseille et épinards. Puis le cycle recommence.

    Encore une fois, s’approvisionner de façon réellement durable n’est pas un jeu d’enfant. Il faut pour cela faire revivre les connaissances et les processus culturels que les supermarchés nous ont fait oublier. Mais les avantages d’un approvisionnement alimentaire local et saisonnier sont grands pour la nature et notre santé. Renouer avec la terre et ses rythmes saisonniers fait du bien à tous.
    https://theconversation.com/une-alime...e-tout-depend-de-la-ou-jhabite-153330
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