C’est un phénomène de déni classique. Certains se disaient « je vais bien » et avaient une impression de toute puissance par rapport au virus. Par ailleurs, comme les médias ont beaucoup parlé du coronavirus en disant que ses effets étaient comparables à celui d’une grippe, beaucoup de gens en ont minimisé le danger. Enfin, certains discours complotistes remettent toujours en cause les décisions des politiques, même en période de crise.
https://www.20minutes.fr/justice/2740...de-selon-psychiatre-christian-navarre
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https://theconversation.com/appeler-a...tion-et-obtenir-leffet-inverse-133946
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https://theconversation.com/rester-ch...e-avec-lindividualisme-ambiant-134454
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https://www.telerama.fr/livre/journal...op-et-cest-la-saturation,n6623399.php
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https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/cer...e-recompense-du-confinement-19233.php
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https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/cer...le-gout-retrouve-des-choses-19250.php
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https://www.developpez.com/actu/30108...-cette-situation-est-source-d-anxiete
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Des auteurs ont également montré l’intérêt d’un environnement enrichi pour limiter les troubles cognitifs et neurocomportementaux chez des souris adultes après une période de consommation répétée d’alcool de type binge drinking, durant l’adolescence. Enfin, une dernière étude a révélé l’effet protecteur d’un environnement enrichi, pendant l’adolescence, vis-à-vis des comportements de consommation excessive d’alcool, d’anxiété, de recherche de nouveauté et de compulsion chez des souris adultes.
Ainsi, dans ce modèle, un environnement enrichi va limiter l’attirance et l’effet réconfortant de la nourriture, des écrans, ou des substances psychoactives. Au contraire, un environnement social appauvri, du stress, un manque d’activité ludique ou d’activité sociale, un accès restreint aux stimuli culturels, va exposer davantage l’individu aux effets addictifs de certains comportements. Eh oui, comme chez les rongeurs…
Ainsi, dans ce modèle, un environnement enrichi va limiter l’attirance et l’effet réconfortant de la nourriture, des écrans, ou des substances psychoactives. Au contraire, un environnement social appauvri, du stress, un manque d’activité ludique ou d’activité sociale, un accès restreint aux stimuli culturels, va exposer davantage l’individu aux effets addictifs de certains comportements. Eh oui, comme chez les rongeurs…
https://theconversation.com/comment-l...daddiction-lies-au-confinement-136365
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Se côtoient en ce moment dans notre quotidien non seulement la peur de la maladie, les interrogations et les attentes concernant l’émergence d’un traitement, mais aussi les incertitudes sur les retombées économiques et les résurgences de craintes concernant une pénurie alimentaire (que nous n’avions plus connues en France depuis la Deuxième Guerre mondiale). Tout cela agrémenté d’un flot ininterrompu d’informations anxiogènes se déversant chaque jour via la télévision ou Internet.
Le confinement en lui-même, qui peut être vécu différemment selon les individus, réunit certaines caractéristiques retrouvées en temps de guerre : étirement du temps à l’infini, perte des repères temporels, rupture avec le quotidien, sensation de perte de liberté voire d’emprisonnement. On voit poindre aussi la sensation de solitude et d’isolement, et l’ennui, dont on avait presque oublié la possibilité d’existence.
Le confinement en lui-même, qui peut être vécu différemment selon les individus, réunit certaines caractéristiques retrouvées en temps de guerre : étirement du temps à l’infini, perte des repères temporels, rupture avec le quotidien, sensation de perte de liberté voire d’emprisonnement. On voit poindre aussi la sensation de solitude et d’isolement, et l’ennui, dont on avait presque oublié la possibilité d’existence.
https://theconversation.com/confineme...s-apprend-la-guerre-du-vietnam-136364
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https://theconversation.com/confineme...ture-est-tout-simplement-vital-137500
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