@NDA: débat trop centré sur la vitamine B12 et pas assez sur d'autres nutriments comme le collagène (bouillons d'os), la coenzyme Q10 (puissant antioxydant) ou encore les omega-3 à chaîne longue (EPA/DHA) qu'on ne retrouve pas dans le végétal et la qualité des protéines (acides aminés essentiels) qui facilitent largement une meilleure santé pour les gens qui vont consommer de la viande seulement une ou deux fois par semaine (par exemple 1 viande blanche et 1 viande rouge) et des oeufs et des yaourts comme petits suisses, skyr ou à la greque pour avoir des protéines facilement sans viande. Alors qu'en étant végétarien/végétalien, il faut beaucoup plus manger en volume et penser à systématiquement mixer les sources pour avoir tous les acides aminés essentiels. Sinon j'aime bien son point de vue sur la comparaison avec la nature et l'utilisation des compléments alimentaires. Et pour finir, il ne faudrait pas oublier les algues et les mycoprotéines de certains champignons si l'on souhaite se passer de la consommation de viande.
https://www.youtube.com/watch?v=WFLy1UrDmXo
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https://www.lesechos.fr/weekend/gastr...ard-responsable-1912696?xtor=CS4-6235
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>Dans le cas de la philanthropie, l’entreprise donatrice cherche en bien des cas à corriger le préjudice qu’elle a éventuellement contribué à occasionner – directement ou indirectement. Il existe toutefois une différence de taille avec la taxation opérée par l’État : tandis que dans le cas classique de pollueur-payeur, le montant et la forme du préjudice relèvent du régulateur public, dans le cas du philanthrope c’est lui-même qui choisit les modalités de la réparation et son montant, et qui définit, en quelque sorte, la règle du jeu.
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>Le philanthrope apparaît in fine comme le sauveur et le bienfaiteur désintéressé réparant des dommages dont il entend faire valoir qu’ils ne sauraient lui être complètement imputés. C’est là une sorte de mise en abyme du don, où le donateur s’impose à lui-même ce qu’il reconnaît (ou non) comme un dommage ou un profit teinté d’une part d’illégitimité. Le méfait entraîne un don qui, d’une certaine manière, autorise la poursuite d’une activité éventuellement dommageable, et entraîne en retour une nouvelle action de « générosité ».
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>De ce fait, l’administration ou le politique renonce à veiller au bien commun et laisse cette mission à l’entreprise. Celle-ci apparaît comme un jour « pollueuse » et le lendemain « bienfaitrice » dans le domaine dans lequel elle a pu opérer des dégâts ou dans un autre. Cette délégation n’est pas nécessairement inefficace si le philanthrope est véritablement soucieux du bien commun, ce qui se produit dans la plupart des cas.
https://theconversation.com/greenwash...llueur-payeur-comme-les-autres-196893
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