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    https://www.journaldugeek.com/2023/09...ent-pas-si-dangereux-pour-les-enfants
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    https://www.sciencesetavenir.fr/high-...ement-avant-mise-sur-le-marche_165093
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  3. Ces dispositifs deviennent ainsi ceux de la « biopolitique » telle qu’exposée par Michel Foucault à la fin du siècle passé. Celle-ci ne s’adresse plus au corps individuel, mais « à la multiplicité des hommes comme masse globale affectée de processus d’ensemble qui sont propres à la vie », c’est-à-dire à la population conçue comme un tout.

    Or, la technologie permet précisément de répondre à ces impératifs, puisqu’elle assure une prise en compte globale de la population, chaque individu se trouvant réduit à un ensemble de données, dont la gestion peut être opérée quasi-automatiquement.

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    Les nudges ne sont pas seuls responsables de cette apparente absence de contestation. C’est ici le phénomène d’accoutumance (le terme est notamment employé par le sociologue Armand Mattelart) qui doit être observé, facilité par l’impatience de sortir enfin un jour de la crise sanitaire et celle du tant promis retour à la vie antérieure. La technologie est partout dans notre quotidien, et les mesures de surveillance tendent également, qu’elles soient sanitaires ou sécuritaires, à se banaliser. Le fichier sanitaire devient un parmi d’autres, le passe sanitaire un contrôle de plus lors de déjà fastidieux passages aux frontières, tandis que l’application trouve sa place au milieu de toutes celles installées chaque jour sur nos téléphones.

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    Si le passe sanitaire a pu être validé par la CNIL et le Conseil d’État, c’est avant tout grâce à son champ d’application limité. Pourtant, quelques mois plus tard, il est très largement étendu. Trop tard : l’outil est déjà en place.

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    Si le passe sanitaire a pu être validé par la CNIL et le Conseil d’État, c’est avant tout grâce à son champ d’application limité. Pourtant, quelques mois plus tard, il est très largement étendu. Trop tard : l’outil est déjà en place.

    La même technique avait déjà été à l’œuvre pour l’application TousAntiCovid, dont les fonctionnalités n’ont fait que croître, et est très largement mise en application pour certains fichiers sécuritaires.

    Cette habitude peut être dangereuse. Elle conduit en effet à progressivement déplacer la barrière de l’intolérable, et à accepter toujours plus de dispositifs de surveillance dans nos vies.

    Si la période exceptionnelle peut bien sûr justifier certaines atteintes aux libertés et des outils inédits, il faut sans doute ici plus que jamais rappeler les risques de l’effet « cliquet », bien connu en matière sécuritaire, qui interdit tout retour en arrière.
    https://theconversation.com/les-risqu...ques-de-surveillance-sanitaire-164656
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    https://www.caminteresse.fr/economie-...rancais-ne-dorment-pas-assez-11166184
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  5. c’est aussi la preuve que bosser de la maison engendre des dégâts considérables sur notre santé mentale. “Nos journées de travail durent plus longtemps parce qu’il n’y a pas de séparation claire du moment où nous devons nous arrêter”, analyse-t-elle auprès de Glamour US. Et ce n’est pas sain. “Le détachement émotionnel du travail est extrêmement important pour la satisfaction professionnelle. Mais le rituel de fin de journée a disparu dans l’environnement virtuel.”


    En procrastinant notre heure de coucher de la sorte, on se venge de ne pas avoir pu s’accorder de réels moments de détente plus tôt, et on essaie frénétiquement de les rattraper. Et puis, on recherche aussi un lien social essentiel, largement réduit avec la pandémie. Une façon de respirer, donc, qui n’est cependant pas sans conséquence.

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    Le problème avec cette habitude devenue commune, c’est qu’elle a tendance à être contre-productive. Plutôt que de nous changer les idées pour mieux nous relaxer d’un stress ambiant, elle finit par l’augmenter. “Nous savons que le simple fait de scroller sans réfléchir et de ne pas interagir de manière significative augmente notre stress au lieu de l’atténuer”, rappelle ainsi Vaile Wright, directeur de l’innovation en matière de soins de santé à l’American Psychological Association.

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    en essayant de déplacer cette pause privilégiée - mais nocive - à plus tôt dans la journée. A la pause-déjeuner, par exemple, ou en pleine après-midi. 15, 20, 30 minutes rien qu'à soi qui éviteront d'attendre le dernier moment pour en profiter. On les passe à aller se promener, à téléphoner à un·e ami·e pour se confier, à lire, à manger, à écouter un podcast qui nous donne l'impression de s'évader.
    https://www.terrafemina.com/article/s...ation-vengeresse-du-coucher_a357315/1
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  6. La surveillance "brouille la frontière entre le lieu de travail et la vie personnelle", souligne Darrell West, vice-président à la Brookings Institution. "Cela érode les protections du secret médical pour de nombreux travailleurs".

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    Le rapport indique que certains systèmes vont jusqu'à identifier les personnes qui ne passent pas assez de temps devant un évier pour constater un lavage des mains inadéquat.

    "L'intrusion dans la vie privée à laquelle sont confrontés les travailleurs est alarmante, d'autant plus que l'efficacité de ces technologies pour atténuer la propagation du Covid-19 n'a pas encore été établie", indique le rapport.
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante...le-lieu-de-travail_151972?xtor=RSS-16
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