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https://www.slate.fr/story/267228/cha...raitement-anorexie-etude-scientifique
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La pratique intensive du sport active, au niveau du cerveau, des sensations de bien-être, ainsi que des effets antalgiques (antidouleurs) et anxiolytiques (anti-anxiété) notoires. On observe notamment la sécrétion d’endorphines, des molécules naturelles qui déclenchent une sorte d’ivresse du coureur nommée runner high. Le running est en effet l’un des sports qui favorise le plus la libération de cette hormone. On retrouve aussi et surtout une activation du circuit cérébral de la récompense qui conduit à la libération d’un neurotransmetteur, la dopamine, dans le noyau accumbens. Cette substance, responsable de la sensation de plaisir, provoque le besoin de réitérer les sensations de plaisir jusqu’à engendrer, chez certains sportifs, une perte de contrôle, qui les pousse à aller de plus en plus loin, malgré la douleur physique ou les blessures.
https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/cas...courait-a-sen-rendre-malade-17807.php
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