>Seulement, ces initiatives ne sont pas aussi positives qu'elles le laissent penser. Elles restent ancrées dans un paradigme dans lequel le comportement individuel est le pivot du changement, plutôt que les structures politiques et économiques qui nous entourent. Ainsi, de nombreuses organisations utilisent les principes et les politiques du bien-être pour renforcer les hiérarchies existantes, sans aucune remise en question.
>Il s'agirait pour les établissements d'une tentative stratégique pour améliorer la productivité, réduire les coûts, conserver une bonne réputation et promouvoir la conformité. Et ce, sans que les employés ne s'en rendent réellement compte. Les coins détente, les salles de sieste, les baby-foot et toutes les infrastructures vendant du rêve permettraient en fait de compenser les heures supplémentaires, la mauvaise ambiance entre collègues et les semaines de travail intensives.
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>En outre, certains employés ressentiraient davantage de pression, considérant désormais que participer à ces programmes et ateliers est une tâche professionnelle semi-obligatoire; au point que la non-participation entraînerait une stigmatisation. Au bout du compte, leur quotidien rimerait avec stress et... mal-être.
https://www.slate.fr/story/241606/pou...ique-sante-mentale-entreprise-travail
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https://theconversation.com/ubu-manag...erives-ubuesques-du-management-150234
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Il y a également le « porte-flingue », c’est-à-dire une personne dont le travail a de la substance, mais qui est au service d’une industrie que l’on peut considérer comme néfaste. Les exemples sont légions : ce sont les lobbyistes, les consultants, les avocats d’affaire, les banquiers ou encore ceux qui travaillent dans l’armement ou la publicité.
la rationalisation du travail dans le système capitaliste suppose de justifier en permanence les coûts, ce qui rajoute des couches de procédures
Enquête sur l’utilité et la nuisance sociale des métiersviii 2 » ont voulu montrer que le concept de « boulot de merde » pouvait tout aussi bien s’appliquer à des personnes dont le travail est utile mais rendu « merdique » par des conditions désastreuses, mais aussi, d’autre part, Jean-Laurent Cassely, qui développe dans son essai La révolte des premiers de la casse
http://www.gaucherepublicaine.org/soc...tiplication-des-jobs-a-la-con/7402934
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