frenchhope: progrès* + 0_archivebox*

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  1. tout mouvement qui lutte pour le progrès social peut être qualifié de « woke », ce qui est commode, notamment pour les think tanks conservateurs comme Fondapol par exemple, qui, à travers une note de recherche aux prétentions objectives mais à la grille de lecture particulièrement discutable – comme le rappelle par ailleurs Réjane Sénac, directrice de recherche au CNRS, évoquant ainsi le fait que cette note de recherche participe à la construction d’une « croisade » contre un « ennemi de la République ».
    https://theconversation.com/le-wokism...u-limport-des-paniques-morales-172803
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  2. -
    https://maisouvaleweb.fr/power-and-pr...-prosperite-ne-riment-jamais-vraiment
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  3. -
    https://usbeketrica.com/article/rolan...-deconstruit-progres-et-collapsologie
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  4. Les par­ti­sans de l’idée de pro­grès ne man­que­ront pas de men­tion­ner ce qui, à leurs yeux, est un argu­ment, voire l’argument prin­ci­pal de sa défense, à savoir l’augmentation de l’espérance de vie. Bien que plus ou moins exacte (elle est sou­vent exa­gé­rée ou mal com­prise, ce qu’ex­plique cet article), elle ne consti­tue­rait un argu­ment valable que si la durée de vie pri­mait sur sa qua­li­té. Ain­si que Sénèque le remar­quait déjà en son temps : « Pas un ne se demande s’il vit bien, mais s’il aura long­temps à vivre. Cepen­dant tout le monde est maître de bien vivre ; nul, de vivre long­temps. » C’est pour­quoi : « L’essentiel est une bonne et non une longue vie. »

    J’ai eu l’occasion, il y a quelques temps, de m’entretenir avec Mary­lène Patou-Mathis, une pré­his­to­rienne fran­çaise, vice-pré­si­dente du conseil scien­ti­fique du Muséum natio­nal d’Histoire natu­relle, qui a pas­sé du temps par­mi les Sans, des chas­seurs-cueilleurs vivant (ou sur­vi­vant encore), entre autres, sur le ter­ri­toire du Bots­wa­na (bien que l’expansion de la civi­li­sa­tion indus­trielle soit en train de les détruire à petit feu). Je me sou­viens encore de sa des­crip­tion de leurs apti­tudes phy­siques incroyables, de leur dex­té­ri­té, de leur agi­li­té, de leur endu­rance, de leur vita­li­té et de leur jovia­li­té. Il sem­blait clair, à ses yeux, que les Sans incar­naient, bien plus en tout cas que les civi­li­sés, le déve­lop­pe­ment du plein poten­tiel de l’être humain. Beau­coup d’anthropologues, d’ethnologues et de scien­ti­fiques ayant étu­dié (et/ou vécu par­mi) un ou des peuples de chas­seurs-cueilleurs par­tagent cette pers­pec­tive.
    https://www.partage-le.com/2017/09/03...s-effets-sur-la-sante-de-letre-humain
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  5. quand on dit « L’espérance de vie a augmenté grâce au capitalisme », on se trompe. En réalité, l’histoire de la médecine a montré que l’espérance de vie a augmenté grâce à l’assainissement des villes, à une meilleure alimentation, à l’application de règles d’hygiène élémentaires, à une meilleure compréhension du fonctionnement du corps humain et de ses milieux de vie… Certainement pas grâce aux avancées high-tech de la médecine ! Celles-ci peuvent avoir leur intérêt, elles permettent notamment de soigner des maladies incurables ou de réparer des blessures profondes que l’on ne pouvait pas réparer auparavant. Mais elles n’expliquent pas à elles seules l’augmentation de l’espérance de vie. Donc dire qu’il faut continuer à développer les solutions techniques les plus coûteuses et les plus lourdes revient à agiter un paravent pour construire des marchés et des désirs artificiels.

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    Le train n’est donc pas intrinsèquement écologique, surtout si on entend par écologique l’absence d’impact sur le milieu. Il ne devient écologique que si on le compare à d’autres systèmes de transport encore pires, notamment l’avion et la voiture. On retrouve ici la question des seuils, des échelles, des limites. Évidemment que dans le débat actuel, il faut soutenir et encourager le train. Mais il faut aussi se poser la question suivante : de quoi parle-t-on quand on parle de train ? Il convient d’ouvrir le débat, car il n’y a pas un train dans l’absolu mais plusieurs choix de modèles ferroviaires, plusieurs systèmes techniques. Entre les trains les plus high-tech qu’on vante souvent dans les pubs en les présentant comme des sortes de navettes spatiales et les trains low-tech, qui vont moins vite, il y a une énorme différence. Le TGV va plus vite, certes, mais il dépense aussi beaucoup plus d’énergie, surtout au-delà de 200 km/h. Sans compter le sous-investissement chronique dans le réseau français, qui comptait 60 000 kilomètres de voies ferrées en 1950, contre 30 000 aujourd’hui. Donc quel choix on fait ? Quels « progrès » on choisit de faire entre la densité du réseau et la vitesse, la puissance ? C’est là qu’il y a de la politique, et donc des choix à faire. À chaque fois qu’un politique dit « Je défends le train », il faudrait lui demander : « De quel train parlez-vous ? »
    https://usbeketrica.com/fr/article/fr...s-dans-un-presentisme-qui-nous-aliene
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  6. -
    https://usbeketrica.com/fr/article/pr...t-open-source-pour-un-avenir-meilleur
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  7. -
    https://usbeketrica.com/fr/article/vers-l-age-de-la-maintenance
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