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    https://www.letemps.ch/sciences/motiv...e-affaire-glutamine-glutamate-cerveau
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    https://www.sciencesetavenir.fr/sante...i-fort-que-la-faim_149325?xtor=RSS-16
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    https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/nut...obesite-la-faute-au-cerveau-20560.php
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    https://trustmyscience.com/nouvelle-e...mecanismes-responsables-effet-placebo
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  5. ainsi, les individus ayant le plus tendance à prendre des risques, dans les quatre situations décrites au début de cet article, présentent moins de substance grise cérébrale dans l’ensemble de leur cerveau que les sujets évitant ces pratiques. Et ce après prise en compte de différents facteurs de confusion, dont la taille totale du cerveau, l’âge, le sexe, la sensibilité émotionnelle, la consommation excessive d’alcool et les facteurs génétiques. La matière grise correspond au corps cellulaire des neurones, ce qui signifie que les gens casse-cou ont en moyenne moins de neurones. Mais il n’existe pas une seule région cérébrale associée à la prise de risque ! Plus précisément, la diminution de substance grise s’observe surtout dans l’amygdale, impliquée dans les émotions dont la peur, l’hippocampe, responsable des mécanismes de mémorisation, le cervelet, principalement dévolu à la coordination des mouvements, le striatum ventral, le putamen, l’hypothalamus et le cortex préfrontal dorsolatéral, ces quatre dernières zones ayant un rôle dans les processus hormonaux, de récompense et de planification. Puis les chercheurs ont confirmé ce résultat auprès de 13 000 autres volontaires : la prise de risque n’est pas associée à l’activité d’un unique centre cérébral, mais à des réseaux étendus ; il s’agit donc d’un comportement très complexe.

    D’où vient-il ? Pour répondre à cette question, Aydogan est ses collègues ont aussi réalisé une analyse dite « pangénomique », c’est-à-dire de l’ensemble des gènes, de participants européens à une autre étude (environ 300 000 personnes), afin de trouver des corrélations entre le comportement associé à la prise de risque, les différences cérébrales identifiées et des variants génétiques particuliers. Or leur résultat révèle que les gènes n’expliquent que 2,2 % du comportement de prise de risques ! Preuve que les variations cérébrales identifiées chez les personnes accro aux sensations fortes ne sont pas seulement dues à la génétique, mais aussi, très certainement, à des facteurs de développement et d’éducation.
    https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/neu...s-le-cerveau-d-un-casse-cou-21488.php
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  6. « les biais cognitifs ne sont pas immuables, ils ne sont pas absolument positifs ou négatifs, mais dépendent de plusieurs facteurs : ils sont contextuels. Il serait plus intéressant d’apprendre pourquoi certains biais émergent dans certaines situations que de les combattre à tout prix. »

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    les électeurs ne votent pas Trump ou pour le Brexit parce qu’ils sont biaisés, mais parce qu’il y a une envie d’en découdre, parce que les richesses sont mal réparties, parce qu’ils ont le sentiment de ne pas bénéficier du progrès, et pour tout un tas d’autres raisons. Les activistes anti-OGM de leur côté n’ont pas comme seul argument dans leur besace les questions sanitaires, mais aussi une critique plus globale de certains modes de production. À trop se focaliser sur les biais, on en oublierait presque le contexte.
    https://www.internetactu.net/2019/04/...vons-nous-tant-de-mal-a-changer-davis
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    https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/eco...ravailler-en-musique-ou-pas-21845.php
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