@NDA: débat trop centré sur la vitamine B12 et pas assez sur d'autres nutriments comme le collagène (bouillons d'os), la coenzyme Q10 (puissant antioxydant) ou encore les omega-3 à chaîne longue (EPA/DHA) qu'on ne retrouve pas dans le végétal et la qualité des protéines (acides aminés essentiels) qui facilitent largement une meilleure santé pour les gens qui vont consommer de la viande seulement une ou deux fois par semaine (par exemple 1 viande blanche et 1 viande rouge) et des oeufs et des yaourts comme petits suisses, skyr ou à la greque pour avoir des protéines facilement sans viande. Alors qu'en étant végétarien/végétalien, il faut beaucoup plus manger en volume et penser à systématiquement mixer les sources pour avoir tous les acides aminés essentiels. Sinon j'aime bien son point de vue sur la comparaison avec la nature et l'utilisation des compléments alimentaires. Et pour finir, il ne faudrait pas oublier les algues et les mycoprotéines de certains champignons si l'on souhaite se passer de la consommation de viande.
https://www.youtube.com/watch?v=WFLy1UrDmXo
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https://www.futura-sciences.com/plane...ime-alimentaire-planete-meilleur-7718
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https://trustmyscience.com/regime-veg...ent-benefique-pour-sante-environnemen
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fonder l’alimentation des ruminants sur l’utilisation des prairies et réduire les monogastriques libérerait une partie des 11 millions d’ha de céréales et d’oléoprotéagineux, tout en permettant de produire de quoi consommer 94 g de viande par jour.
Ces terres pourraient par exemple accueillir les légumineuses dont il faut augmenter les surfaces de 200 000 ha pour en manger comme préconisé 10 kg/an (contre 1,7 kg/an actuellement), ainsi que les fruits et légumes dont le solde net est de -470 000 ha alors même que nous n’en consommons pas assez !
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La comparaison de 4 filières de production de poulets révèle ainsi que les effets sont plus faibles pour le mode de production conventionnel en comparaison de la filière Bleu Blanc Cœur, mais aussi des labels rouge et bio ! La prise en compte de la fourniture de services et du bien-être animal inverse en revanche le classement !
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Adapter la consommation de protéines animales à nos besoins et renforcer la place des légumineuses, baser l’alimentation des ruminants sur les prairies et celui de monogastriques sur les co-produits, et favoriser les conduites d’élevage qui maximisent les services… Ces différents niveaux d’analyse aident à identifier les transformations prioritaires pour une alimentation saine et durable dans un environnement protégé.
https://theconversation.com/elevage-p...-savoir-pour-y-voir-plus-clair-194271
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