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https://theconversation.com/etudier-e...ir-des-circuits-de-delinquance-172426
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Une hausse des incarcérations, mais pour de petits délits
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Dans les discours politiques simplistes traitant de la prison, rares sont les propositions visant à expliciter les objectifs de l’incarcération. Ils évitent ainsi les questions qui dérangent : l’impact de la prison sur la récidive ou sur la désocialisation des détenus, ses effets pervers, ou la question de la détention provisoire et de sa durée.
https://theconversation.com/toujours-plus-de-prisons-pour-quoi-faire-160645
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https://www.lefigaro.fr/vox/societe/l...dans-une-nouvelle-insecurite-20210118
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"Selon vous, la contre-culture entreprend une « « glamourisation » d’un comportement antisocial », confondant délinquance et rébellion : « La contre-culture a toujours eu tendance à idéaliser la criminalité ». Tandis que le prolétariat et les « gens ordinaires » ont souffert un discrédit, un mépris et une ringardisation par la gauche, le lumpenproletariat a pu bénéficier de son indulgence. D’un côté, c’est comme si la défense de « marginaux » (considérés ainsi objets d’un processus d’oppression bien plus que comme sujets dotés de libre arbitre) avaient supplanté en importance la lutte des classes ; de l’autre, il semble que la question morale en tant que condition d’une possible vie commune (qu’avait pris en charge le socialisme, mot d’ailleurs créé en contradiction de l’individualisme libéral) a été révoquée. Dans quelle mesure la contre-culture a-t-elle joué un rôle historique de dépolitisation et d’individualisation des masses au moment même où le néolibéralisme émerge ?"
https://comptoir.org/2020/05/14/heath-potter-revolte-consommee-l-echappee
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