nos gouvernements démocratiques restent notre dernière ligne de défense contre les corporations, qui sont des autocraties. Personne n’a élu Eric Schmidt (ancien PDG de Google, Ndlr). Personne n’élit les PDG. C’est un système féodal. Dans une interview de Wired UK, le président de Softbank, une entreprise japonaise qui a récemment créé un fonds d’investissement de 100 milliards de dollars, a dit : nous sommes la nouvelle noblesse. Il explique ouvertement qu’il souhaite connaître tout ce qui vous concerne : vos appels téléphoniques, l’hôpital où vous allez, le restaurant où vous mangez… Car selon lui, ceux qui connaissent tout cela contrôlent les données et contrôlent le monde. C’est une autocratie, et les dirigeants de cette autocratie ne s’en cachent même plus. Ce n’est pas de la science-fiction.
https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/don...nelles-pourquoi-arreter-services-gafa
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https://laviedesidees.fr/Tyler-Stovall-White-Freedom.html
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L'acceptation d'un tel raisonnement est le signe d'un affaissement considérable de la morale. Les esprits sont désormais tellement habitués à l'utilitarisme et à l'importation des raisonnements marchands dans tous les domaines de la vie, qu'on ne comprend plus ce que Kant appelait la dignité de la personne humaine. Arthur Koestler l'a redit de façon plus sombre, car il a vécu dans sa chair l'abandon de ce principe. Dans son livre majeur, Le Zéro et l'Infini, il affirmait qu'« il n'y a que deux conceptions de la morale humaine et elles sont à des pôles opposés » : l'une d'elles « déclare l'individu sacré, et affirme que les règles de l'arithmétique ne doivent pas s'appliquer aux unités humaines – qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l'infini » ; l'autre conception « part du principe fondamental qu'une fin collective justifie tous les moyens, et non seulement permet mais exige que l'individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté – laquelle peut disposer de lui soit comme d'un cobaye qui sert à une expérience, soit comme de l'agneau que l'on offre en sacrifice ».
À nouveau si nous étions certains que la vaccination des enfants pouvait mettre fin à la pandémie, ou à tout le moins certains qu'il n'y a aucun risque pour eux à long terme, leur vaccination obligatoire pourrait être envisagée, comme c'est le cas pour d'autres vaccins. Mais qui oserait soutenir publiquement qu'il en est ainsi pour le présent vaccin ?
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/m...it-est-il-malade-du-covid-19-20211221
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