"Le but de la vie n’est pas l’absence de souffrance, mais plutôt de se montrer à la hauteur de sa souffrance et de ses valeurs. En ce sens, l’idéologie du confort et de la joie véhiculée notamment par la société américaine et sa fameuse « poursuite du bonheur » est pour Frankl un leurre absolu, voire un piège : « (…) un tel système de valeurs est sans doute responsable du fait que le fardeau de la souffrance inévitable est augmenté par la souffrance de ne pas être heureux » 24 » . Dans un monde où le bonheur est représenté comme l’idéal, la souffrance est incompréhensible et les individus qui la vivent sont ainsi doublement punis. Dépasser le slogan marketing d’une vie heureuse remplie des dernières innovations à la mode pour une vie ayant du sens, en particulier dans un monde où les défis ne manquent pas (réchauffement climatique, perte de biodiversité, accroissement des inégalités, faillite des démocraties, …) devient ainsi le moyen de sauver le monde comme de nous sauver, individuellement, nous-mêmes, en servant nos contemporains, les générations futures et le vivant en général."
https://usbeketrica.com/fr/article/la...-ne-compense-en-rien-notre-souffrance
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when you look at the specific facets of each of these broad factors, you realize that there are some traits that males score higher on (on average), and some traits that females score higher on (on average), so the differences cancel each other out
No matter what the science says, if an individual shows the interest and ability to enter a field in which their sex is extremely underrepresented (e.g., women in math and science, men in nursing and education), we should absolutely be encouraging that individual to enter the field and do everything we can to help them feel a sense of belonging
They rightly point out that people unfortunately tend to unthinkingly ascribe the mere existence of sex differences to "immutable biological factors", an assumption that does not automatically follow from the data. Not only that, but it's true that there is very little biologically that's "immutable" other than the genetic sequence, a fact that is widely known among all of the psychologists that I know.
https://blogs.scientificamerican.com/...-differences-in-personality-seriously
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https://theconversation.com/lembryon-humain-est-il-une-personne-123113
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