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    https://www.geo.fr/environnement/vivr...ur-que-largent-selon-une-etude-204435
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    https://trustmyscience.com/meta-analy...irme-absence-risques-5g-sante-humaine
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  3. Une première explication se trouve dans le concept de « routine organisationnelle » qui décrit l’entreprise comme une entité routinière. Les entreprises seraient enclines à sortir de leur routine uniquement si d’autres concurrents ont acquis de meilleures connaissances. Elles vont alors mener un effort de recherche pour être à nouveau compétitives.

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    Les lobbies industriels peuvent notamment financer des scientifiques afin de crédibiliser leurs études. C’est ainsi qu’en 2015, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a autorisé le bisphénol A en se référant aux résultats d’une étude portant sur trois à quatre années consécutives dans le cadre du programme national de toxicologie des États-Unis soutenu par des lobbies industriels du plastique.

    Avec leurs expertises, ces mêmes scientifiques peuvent œuvrer directement dans des comités décisionnels. L’affaire du bisphénol A a d’ailleurs révélé que 8 des 18 experts du groupe nommés par la Commission européenne devant se prononcer sur la dangerosité présumée du bisphénol A pour élaborer une stratégie afin de réglementer les perturbateurs endocriniens, étaient en rapport avec l’industrie chimique.

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    La bataille se joue également auprès de l’opinion publique. PlasticsEurope, qui représente les producteurs européens de matières plastiques, avait ainsi utilisé la perspective d’une éventuelle réduction de l’emploi à la suite de l’interdiction du bisphénol A pour encourager les citoyens intéressés par la préservation de leur travail à soutenir son maintien. Cet argument, impliquant une perte de bien-être de la société, a ralenti les décisions à l’encontre du bisphénol A.

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    Une réflexion sur la régulation des risques, notamment chimiques, devient donc urgente. En effet, à la suite de l’interdiction du bisphénol A, de nouveaux composés de la famille des bisphénols ont émergé : les bisphénols B, F et S. Les premières études toxicologiques sur ces substituts ne sont guère rassurantes ni pour la santé, ni pour l’environnement.
    https://theconversation.com/bisphenol...s-ont-ralenti-son-interdiction-156990
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  4. l'analyse de plus de 10 000 contacts uniques (...) à l'origine d'une infection montre que ce contact a eu lieu à l'intérieur fenêtres fermées dans 80% des cas, à l'intérieur fenêtres ouvertes dans 15% des cas, et à l'extérieur dans 5% des cas", selon les chercheurs. A l'inverse, "le sport en extérieur peut être recommandé tant que la distance physique est respectée".

    Dans la moitié des cas, les personnes infectées ne savent pas qui les a contaminées. Selon l'enquête, seules "45% des personnes infectées connaissent la personne source qui les a infectées, 18% suspectent un évènement particulier sans connaître la personne source de l'infection et 37% ne savent pas comment elles se sont infectées. Quand les personnes interrogées savent qui les a infectées, elles désignent d'abord quelqu'un dans le foyer (42%), puis un membre de la famille élargie (21%), une connaissance professionnelle (15%), un ami (11%) ou autre (11%)".

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    les repas jouent toujours un rôle central dans les contaminations étudiées, "que ce soit en milieu familial (35% des cas hors repas de Noël), amical (42%) ou à moindre degré professionnel (15%)". Les fêtes de fin d'année y ont cruellement contribué : "Les repas de Noël ont joué un rôle important en milieu familial (39% des contaminations extradomiciliaires en milieu familial élargi) et le réveillon du Nouvel An pour les contaminations avec les amis (30% des contaminations extradomiciliaires avec des amis en décembre)", notent les auteurs de l'étude. Mais le milieu professionnel n'est pas oublié : "Le bureau partagé est le lieu de contamination dans 35% des cas." Le rapport rappelle enfin que "la fréquentation des bars et des restaurants a été associée à un surrisque d'infection pendant la période où ils étaient ouverts". Mais, ajoute-t-elle, "le risque n'a pas pu être réévalué depuis leur fermeture en novembre".

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    "Avoir un enfant scolarisé en primaire n'a pas été jusqu'à maintenant associé à un surrisque d'infection pour les adultes vivant dans le même foyer", jugent les auteurs de l'étude. Et de noter toutefois "depuis janvier une augmentation des infections intra-domiciliaires vers les adultes dues à des enfants de moins de 11 ans", d'autant que "la part des contaminations liée aux enfants de moins de 6 ans augmente de 2% à 5% et celle des enfants de 6 à 11 ans de 3% à 8% pendant la période d'étude".

    Cette hausse, avancent-ils, pourrait être corrélée à "l'arrivée des variants anglais, sud-africains et brésiliens sur le territoire français. Le variant anglais est environ 50% plus transmissible que le virus traditionnel". D'où cette hypothèse :

    > "Il est possible, si la dose minimale infectante est plus faible avec la contagiosité accrue du variant anglais, que des modes de transmission inefficaces auparavant chez les enfants le soient devenus avec l'arrivée de ces variants plus contagieux."

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    "Au sein du foyer, avoir un enfant scolarisé représente un surrisque d'infection pour les adultes, notamment ceux gardés par une assistante maternelle (+39%) et ceux qui vont au collège (+27%) et au lycée (+29%)", estiment les auteurs de l'enquête.

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    "La relation entre diplômes et risque d'infection suit une courbe en U", synthétise l'étude. "Les bacheliers jusqu'à Bac+4 sont moins à risque d'infection, comparés aux non-bacheliers et aux Bac+5." Les catégories professionnelles les plus exposées sont celles qui exercent en milieu clos avec de fréquents contacts. Soit, dans l'ordre, "les chauffeurs, puis les professions intermédiaires de la santé et du travail social, suivis des chefs d'entreprise et des cadres et ingénieurs".

    "Artisans et ouvriers artisans, commerçants et assimilés, professions libérales, professions de l'information, des arts et des spectacles, techniciens, contremaîtres et agents de maîtrise, employés de commerce, ouvriers qualifiés de type industriel, étudiants, chômeurs et inactifs" sont, eux, considérés comme "à risque moyen" d'infection.

    Sans surprise, le télétravail joue un rôle protecteur (-24% de risque pour le télétravail partiel, -30% pour le télétravail total par rapport à des personnes effectuant le même travail en bureau)
    https://www.francetvinfo.fr/sante/mal...-modes-de-contaminations_4328533.html
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